Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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17- Corot et le paria, les blessures physiques

 

Dans tout ce que j'ai raconté précédemment, on a vu que certaines choses sont similaires de vie en vie. Il y a des transmissions, des acquis que notre âme transporte avec elle entre les vies. On peut retrouver des traits de caractère, des comportements, des aptitudes, des phobies, des schémas de vie qui sont proches d'une vie à l'autre. A bien y regarder, tous ces éléments sont de l'ordre du mental ou de l'invisible. Est-ce que ça veut dire que la réincarnation n'a aucune influence sur le corps physique qu'on emprunte le temps d'une vie ? Pas tout à fait. Aussi étrange que ça puisse paraître, le corps peut aussi exprimer des traces des vies passées. J'en avais donné un exemple assez évident quand j'avais parlé de mes yeux. Dans ma vie actuelle j'ai de très bons yeux, une vue parfaite avec la perception d'une large gamme de nuances des couleurs, ce qui est un atout dans mon travail d'artiste. Mais il y a une contrepartie, c'est que mes yeux ont quand même une certaine fragilité. Ils sont de couleur claire et très sensibles à la forte lumière du jour, à tel point qu'en plein été je peux à peine garder les yeux ouverts. C'est lunettes solaires obligatoires, et pas pour la frime. C'est vraiment une nécessité pour moi. Par ailleurs j'ai depuis l'adolescence une allergie chronique qui se manifestait autrefois au printemps et qui me provoque une conjonctivite très handicapante. Aujourd'hui avec le dérèglement climatique ça arrive à n'importe quel moment de l'année, c'est devenu imprévisible. Foutu climat ! Bref, mes yeux sont un outil de travail important et pourtant ils ne me facilitent pas la vie. Et bien j'avais découvert que cette fragilité oculaire avait un lien avec une vie antérieure, celle de Sir Henry Hoghton au 18e siècle en Angleterre. En effet, j'avais revécu une scène de la fin de sa vie où cet homme, vieillard, était devenu complètement aveugle. Ca avait été une expérience spéciale, j'avais l'impression de voir sans vraiment voir. J'avais la perception de l'espace et des objets autour de moi, puisque j'étais dans un environnement familier, mais sans les voir avec les yeux. En tout cas, j'avais relié cette cécité dans une vie passée à mes problèmes oculaires actuels. D'ailleurs il me semble que ce problème des yeux était le focus que j'avais utilisé pour cette régression, bien que je n'en sois pas certain car elle est ancienne et que je n'avais pas précisé ce détail dans mes notes. J'avais par la suite fait le lien entre la cécité de Sir Hoghton et le druide gaulois. En effet, souvenez-vous, j'avais constaté qu'à la fin de cette vie le druide se retrouvait borgne, il avait un œil laiteux ; encore un problème des yeux. Ca remontait donc plus loin que je ne l'avais imaginé dans un premier temps. Cette constatation d'une conséquence physique d'un traumatisme antérieur est assez convaincante. Or il se trouve que j'ai découvert une autre de ces conséquences physiques de mes vies passées. A première vue elle semble bénigne dans ma vie actuelle, mais ses origines seraient bien lointaines. Je vais développer cette explication en parlant de quelques autres de mes vies antérieures, dont une pour laquelle j'ai découvert de nouvelles séquences.

Cette vie-là se situait sans doute au Moyen-Age. J'en avais déjà parlé mais j'avais peu d'éléments pour la situer dans le temps et l'espace. Cependant le peu que j'avais racontait une histoire cohérente. J'étais un homme très simple qui vivait parmi de pauvres hères et des miliciens faisaient la loi. Un jour, je ne sais pour quelle raison, j'ai été attrapé et battu par un groupe d'hommes, peut-être les miliciens. J'avais sûrement commis un acte répréhensible mais lequel ? Vol ? Braconnage ? Je n'en ai aucune idée. En tout cas ils me l'ont fait payer en me battant à coups de pieds et de bâtons.
Mais plus tard il semble que j'ai pu m'échapper car je me voyais courir dans la forêt en compagnie d'un autre fugitif. On courait comme des dingues, cherchant clairement à échapper à des poursuivants, les miliciens sans aucun doute. Mon compagnon d'infortune a peut-être pu s'en tirer, mais moi hélas je n'ai pas été assez rapide. Ils m'ont repris. Et pour l'exemple ils m'ont fait subir l'un des châtiments les plus humiliants pour l'époque: le pilori. Le pilori, c'est cette espèce de harnachement de bois dans lequel sont encastrés le cou et les mains dans une position très inconfortable. Exposé de la sorte en place publique, face aux injures et à la haîne de la population, je vous assure que ce n'était pas le meilleur moment que j'ai vécu en régression !
Voilà donc tout ce que je connaissais de cette vie jusque-là. Je vais y revenir mais on va la laisser de côté un instant. Je vais d'abord faire un petit écart qui, vous allez le voir, va nous ramener à cette vie-là. Bien longtemps après, j'ai entamé une recherche sur autre chose. J'étais pris à ce moment-là d'une douleur dans le cou. C'était très désagréable et ce n'était pas la première fois. Cette douleur revenait de plus en plus souvent, et toujours à peu près au même endroit, à la base du cou sur la droite, parfois un peu plus vers l'épaule ou vers l'omoplate. Elle me bloquait pendant plusieurs jours avant de disparaître très progressivement. Je mettais ça sur le compte de l'âge ou de ma taille. Je suis assez grand et on sait qu'une grande taille favorise les problèmes de vertèbres et du cou. Puis je me suis demandé si ce problème qui ne faisait qu'empirer n'avait pas son origine dans un événement passé. J'ai donc entamé une régression en utilisant comme focus cette douleur au cou.

Cette fois en replongeant dans le passé, je me retrouve dans une sorte de bureau. C'est un cabinet à l'ancienne, avec des couleurs plutôt boisées, et un large bureau devant moi. Je suis assis dans un fauteuil, bien habillé en costume sombre, chemise et veston. Derrière le bureau face à moi c'est un vieil homme, barbu je crois, un médecin portant un nom qui me semble être Docteur Maroteaux ou quelque chose comme ça. Je suis en France au 19e siècle, c'est la vie de Jean-Baptiste Corot. Je ne suis déjà plus tout jeune et je suis en train de me plaindre au médecin de la même douleur que je ressens dans le présent. C'est la confirmation, cette douleur ne date pas d'hier puisque déjà je la ressens à cette époque. Mais apparemment cette scène ne montre pas encore l'origine du problème. Je décide donc d'aller voir plus loin.
Il m'arrive rarement d'essayer d'aller voir une autre vie au cours de la même régression, mais c'est possible. Pour ça il suffit d'exprimer en pensée ce que vous souhaitez voir, par exemple ici je me reconcentre sur mon focus avec l'intention d'aller plus loin dans le passé. Puis vous replongez dans le tunnel du temps en reprenant un compte à rebours. Ce compte à rebours peut être plus court que le compte à rebours initial. Comptez juste 3, 2, 1, 0 par exemple. Ce laps de temps très court oblige votre esprit à rester concentré sur le voyage dans le passé. Si vous l'allongez il y a le risque de perdre la connexion en quelque sorte et de revenir au présent sans avoir pu en voir davantage. Enfin, ce que j'explique c'est mon ressenti par rapport à la manière dont ça fonctionne pour moi. Mais comme je l'ai déjà expliqué, chacun est différent et il faudra adapter la méthode à votre mode de fonctionnement. Ca se fait de manière empirique avec l'expérience.
Donc, je reprends le tunnel du temps pour un rapide plongeon plus loin encore. Et je me retrouve alors au pilori, le cou coincé dans ce billot de bois ! Je reconnais tout de suite la situation dans laquelle je me trouve, même si ça faisait très longtemps que je n'avais rien vu sur cette vie. Mes mains sont prises aussi, je ne peux pas les bouger. La position est désagréable mais je la supporte. Ce qui est moins supportable c'est les réactions des badauds, hommes, femmes et enfants habillés de vêtements simples de style moyen-âgeux. Bien sûr il y a des moqueries, des injures, mais aussi des jets de boue et autres, des coups, des gifles. Soudain quelqu'un s'approche avec une grosse pierre et m'en flanque un coup sur la nuque à droite. La douleur est intense, et je sens le sang couler. On me laisse là avec ma blessure. Le coup n'a pas dû être trop fort, je n'ai pas les cervicales brisées, mais je ne me sens pas bien du tout. Je suis dans le gaz. Je ne sais pas combien de temps je reste encore pris dans cet engin de torture. Mais on finit quand même par m'en sortir. Est-ce que j'ai purgé ma peine ? Est-ce qu'on a eu pitié de moi ? En tout cas on ne prend pas la peine de me soigner, et je dois partir. Je ne peux pas rester dans un endroit où on m'a traité comme ça. Mais ma blessure me handicape, ma tête explose, je ne raisonne pas correctement, je marche comme un zombie. Mon moi du présent essaie de retrouver comment je m'appelle et un nom me vient clairement : Hardouin.
Dans un demi-coma, plus tard, je ne sais pas où je suis, le décor est vague. C'est une place publique sans doute, je vois de loin un spectacle de saltimbanques sur une petite scène. C'est coloré, c'est musical. C'est un moment de plaisir dans une existence qui devient une torture. Désorienté, sans but, je me mets à les suivre. Je n'ai rien d'autre à faire. Je vis sans doute de vol et de mendicité. De village en village j'assiste à tous les spectacles des saltimbanques. Il y a parmi leur troupe une jeune femme brune qui attire mon attention. Elle n'est sûrement pas étrangère au fait que je suive la troupe. Je reste toujours en retrait, les regardant de loin. Mais un jour c'est elle qui me remarque. Je n'ose pas l'approcher, et c'est elle qui par ses attentions parvient à nouer le contact. Elle regarde ma blessure, elle a pitié de moi. Je suis comme eux, errant sur les routes. Finalement je me laisse faire et elle me prodigue des soins, elle s'y connaît un peu. Je perçois un prénom, Delphine. Et tout à coup, en regardant cette femme, je la reconnais. C'est mon épouse dans ma vie actuelle.



Cette séquence était assez forte. J'ignorais complètement où elle allait me mener. Cette vie était de plus en plus chaotique et en même temps passionnante. Bien sûr on voit clairement maintenant le lien entre cette vie passée et ma douleur dans le cou, dans ma vie actuelle et dans celle de Corot. Mais avant de revenir là-dessus, essayons d'en savoir plus sur la vie de celui qui semble s'appeler Hardouin. J'ai d'abord fait des recherches sur ce prénom. Il n'est pas courant et je ne crois pas l'avoir déjà entendu avant. Est-ce que je l'avais imaginé, existait-il vraiment ? Et bien oui, c'est un prénom qui existait bel et bien au Moyen-Age. De même que Delphine, je voyais ça comme un prénom plutôt moderne, mais non, il s'avère qu'il était aussi utilisé au Moyen-Age. On est donc dans un contexte plutôt francophone, mais je ne peux pas mieux préciser la localisation géographique. Pour les dates par contre j'ai procédé par élimination avec les autres vies pour lesquelles j'avais déjà des certitudes sur la période. A priori la vie de Hardouin devrait se situer entre celle du moine italien (article 12- le moine et les normands) et celle de l'écuyer Gabriel (vu dans l'article 7- les vies simples, et sur lequel je reviendrai dans un prochain article). Nous serions donc en gros entre 1100 et 1180. Hardouin a sans doute vécu encore de longues années après avoir rencontré Delphine la saltimbanque, car j'ai vu en régression une autre scène que j'attribue à sa vie.
J'étais un homme âgé, aux cheveux gris mais encore vigoureux. Je me voyais debout à l'extérieur d'une maison simple avec une réserve de bois coupé sur le côté. Tout autour c'était la forêt, la maison semblait isolée. J'entrais dans la maison et là il y avait une jeune fille. Elle était tout en haillons et passait le balai. Elle me faisait penser à Cosette dans les Misérables. Mon focus pour cette régression était l'une de mes nièces et je sais donc que cette jeune fille, c'était elle. Je pense qu'il s'agissait bien de la fin de la vie de Hardouin, mais ça ne m'a pas donné plus d'informations sur l'endroit où ça se passait.
J'ai fait des recherches aussi sur la séquence retrouvée de la vie de Corot et sur ce médecin qui portait un nom ressemblant à Maroteaux. J'ai longuement recherché s'il y avait une liste des médecins exerçant à Paris au 19e siècle. Il y avait François Guéneau de Mussy, médecin de Charles X et Louis-Philippe, qui a fait des recherches sur l'aliénisme à l'hospice de Charenton. Il se trouve que j'habite Charenton aujourd'hui et que ce médecin était originaire de Semur-en-Auxois en Bourgogne, là où vivait une branche de la famille Corot. La piste devenait intéressante et Corot aurait pu connaître ce médecin, mais le nom Guéneau de Mussy n'avait rien à voir avec Maroteaux. Par contre un autre médecin impliqué lui aussi dans des recherches à l'hospice de Charenton était le docteur Jacques-Joseph Moreau de Tours. Là j'avais un nom qui pouvait coller avec ce que j'avais entendu : Moreau de Tours / Maroteaux. J'ai cherché plus d'informations sur ce médecin. Il faisait des recherches sur les drogues et notamment sur l'action du hachisch sur le psychisme humain. Il créa avec l'écrivain Théophile Gautier un Club des Hashichins, lieu de réunion d'écrivains et artistes qui testaient les effets de ces drogues... une bonne excuse pour consommer entre gens de bonne compagnie ! Parmi les noms cités qui fréquentaient ce club, on trouve entre autres Charles Baudelaire, Eugène Delacroix, et... Honoré Daumier, peintre, caricaturiste et ami proche de Corot. Corot lui-même n'est pas cité, mais il a donc pu fréquenter ce docteur Moreau par deux intermédiaires différents, soit par son ami Honoré Daumier, soit par le docteur Guéneau de Mussy s'il l'avait connu à Semur. Ca fait trop de coïncidences et je crois fermement que ce docteur Moreau de Tours est le bon. D'autant plus qu'un portrait de lui peint par son fils (Georges Moreau de Tours, peintre) le montre barbu lorsqu'il est âgé, tel que je l'ai vu.

Bref, pour revenir au sujet principal, on voit que la douleur au cou que je ressens par moment dans ma vie actuelle s'est déjà manifestée dans d'autres vies, de manière plus ou moins brutale, et pas seulement dans celles que je viens de détailler. Vous souvenez-vous d'une vie que j'avais évoquée, dans laquelle je me faisais initier dans une société occulte, à la Renaissance ? J'en ai appris beaucoup plus sur cette existence depuis, mais j'en reparlerai plus en détails une prochaine fois. En tout cas dans cette vie-là aussi j'ai ressenti cette fameuse douleur au cou. Et vous pensez peut-être que ce qui est arrivé à Hardouin est à l'origine de cette douleur qui se transmet à travers le temps, comme je le croyais aussi dans un premier temps. Et bien c'est faux, car plus loin encore j'ai découvert quelque chose qui se rapporte de nouveau à ça. J'ai revu en régression l'épisode de la mort de Thorbjörn le viking. Lui, on le connait assez bien maintenant, j'en ai déjà parlé plus d'une fois. Il a participé avec une bande de pillards vikings à l'assaut des remparts de la ville de St Lô en Normandie en 889. Je pensais qu'il était mort d'une commotion cérébrale car je n'avais pas vu ou ressenti de blessure évidente sur son corps. Or dans une régression j'ai revécu les derniers instants de sa vie. Il est rare que je revive une scène déjà vue. Alors que les vikings assiégeaient les remparts de la ville, et que Thorbjörn cherchait son frère parmi les blessés et les cadavres, je ressentis tout à coup une forte douleur entre le cou et l'épaule droite. Et là je compris que je venais de me prendre une flèche. La douleur était intense mais ça ne me tua pas sur le coup. Plus tard alors que je m'éloignais du champ de bataille, je commençais à être comme anesthésié, peut-être à cause de la perte de sang. C'est pour ça que je n'avais plus toute ma tête, que j'étais dans le gaz. Et c'est pour cette raison que je mourus sans m'en rendre compte, en voulant juste m'arrêter et me reposer.
Je ne peux pas dire encore si c'est là vraiment l'origine de cette douleur. Peut-être découvrirais-je plus tard qu'elle apparaît dans une autre vie plus ancienne encore. Mais en tout cas, ça montre que des lésions physiques peuvent avoir des conséquences sur les vies suivantes. Cependant ça pose des questions. Car au cours des vies on peut avoir de nombreuses blessures, des maladies, des petits bobos. Est-ce que tout se transmet ? C'est impossible sinon on finirait tous estropiés à force de cumuler les blessures anciennes. Alors quelles blessures se transmettent ? Je n'ai pas de certitude mais une hypothèse. Au moment de la mort de Thorbjörn, alors qu'il se reposait seul loin du tumulte de la bataille, il a eu une pensée pour sa femme restée au pays. Et il a eu une vision, comme s'il la voyait enceinte. Il aurait voulu être près d'elle. Alors je me demande si cette blessure par une flèche n'a pas été associée à cette émotion intense et imprimée dans son âme lorsqu'il a rendu son dernier soupir. Et donc ce serait cette association blessure du corps / blessure de l'âme qui donnerait la possibilité de transmission des blessures physiques. Seules les blessures associées à une information émotionnelle se transmettraient. Lorsqu'elle s'incarne, l'âme se lie fortement au corps qu'elle habite. Il y a des échanges entre ces deux parties d'un être humain. L'âme transmets au corps des informations qu'elle a gardé de ses incarnations passées, et en retour le corps pourrait donc transmettre lui aussi des informations à l'âme. Ce n'est qu'une hypothèse mais cette explication me semble assez convaincante. Je pourrais donner d'autres exemples de conséquences physiques dans la vie présente qui sont liées à des blessures de vies passées, mais je ne vais pas allonger cet article. J'en parlerai une prochaine fois.