Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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12- le moine et les normands, les liens entre les vies



Je vais maintenant compléter ce que j'avais entrepris il y a plus de vingt ans. Aujourd'hui j'ai repris les régressions, et je peux enfin en savoir plus sur mes vies passées. Et je me rends compte de plus en plus que chacune de ces vies ne peut pas être simplement envisagée de manière indépendante, comme une tranche de vie isolée du reste. Non, ces vies ont des liens entre elles, ne serait-ce que par le karma. Souvent on ne peut comprendre ce qui se passe dans une vie qu'à la lumière d'une autre. C'est ce que je vais montrer maintenant, en revenant sur deux de mes vies passées dont j'ai déjà parlé : celle du viking Thorbjörn, et celle du moine bénédictin italien. Je vais d'abord raconter quelques souvenirs supplémentaires vus en régression et qui permettent de mieux situer ces vies.

Commençons par Thorbjörn. J'ai raconté cette vie où j'étais un viking parti avec les siens en campagne pour ravager les côtes de Normandie au 9ème siècle. J'avais vu en particulier un assaut sur une ville fortifiée que j'ai identifiée comme étant St Lô, qui a été dévastée par les vikings en 889 (revoir l'article 5- le viking pour plus de détails). Depuis j'ai vu des petites scènes de cette campagne en Normandie avant l'épisode de St Lô. Les navires mouillaient au bord du fleuve, dans la nature, et on était en train de les charger de matériel. On était dans une plaine herbeuse parsemée de quelques arbres. Sans doute avions-nous établi le campement ici, et il était temps de repartir. Dans un autre endroit, plus tard, je me voyais assis au pied d'un arbre au moment de casser la croûte. Mon frère Einarr était avec moi, on était détendus et on discutait de la situation. Il me montrait avec fierté un petit objet doré, sûrement le fruit d'un pillage récent. On était déjà contents de notre butin, mais c'était quand même trop peu par rapport à ce qu'on espérait. Notre chef nous avait promis beaucoup plus quand on avait décidé de le suivre dans cette campagne. Puis on parla avec nostalgie de nos femmes restées au pays. Elles nous manquaient. J'ai vu aussi une scène d'entraînement au combat où on faisait quelques passes d'armes avec nos haches, épées et boucliers. Ce n'était pas très intense, c'était juste pour s'amuser et ne pas perdre la main.
Ces scènes ne m'apprennent rien de plus sur le contexte de la vie de Thorbjörn, mais j'ai trouvé intéressant de me replonger dans la vie quotidienne de ces pillards. Ces terribles vikings étaient finalement des hommes comme les autres. Si, j'ai quand même appris un détail intéressant. Quand j'ai vu les bateaux vikings au bord du fleuve, je me suis posé la question de leur nom. Parce que je sais qu'il y a parfois débat là-dessus. Tout le monde les appelle drakkar, ce qui vient du mot signifiant dragon. Mais il paraît que ce n'est pas le terme qu'utilisaient les vikings eux-mêmes. Il existe plusieurs mots selon les types de bateaux : knorr, langskip, etc. Or, en évoquant cette question pendant ma régression, j'ai nettement entendu le mot « skip ». Skip est comme le mot anglais ship, il signifie simplement bateau. D'un seul coup ça me paraissait tellement logique ! Les vikings disaient simplement « skip » pour parler de leurs bateaux. Les autres termes servaient à différencier les types de bateaux. C'est comme aujourd'hui avec voilier, paquebot, catamaran, etc. Mais si on n'a pas besoin de préciser, on va simplement dire « je monte sur le bateau ». Parfois il n'y a pas besoin de chercher les complications.

Je vais parler maintenant d'une vie que j'ai un peu évoquée précédemment, c'est celle du moine copiste bénédictin quelque part en Italie (voir l'article 8- les vies mystiques). Je ne savais pas grand chose de lui à ce moment-là, et depuis j'en ai appris beaucoup plus. Et il y a un lien évident avec la vie du viking Thorbjörn.
Tout commence dans l'abbaye où je me suis vu dans la peau de ce moine. Comme je le disais avant, on parlait dans une langue latine, mélange de latin classique et d'italien peut-être. La communauté était grande, il y avait de nombreux moines. L'abbaye était assez vaste. Une partie des moines étaient formés à la calligraphie, comme moi, et passaient une partie de leur temps à écrire dans des grimoires et à réaliser de belles enluminures. J'ai vaguement perçu mon nom comme « pragma... », peut-être Pragmatus ? Mais je n'ai pas trouvé de nom de ce genre pour l'époque.
Bref, à côté de ça tous les moines participaient à la vie de la communauté. On faisait de l'élevage, des cultures, de la cueillette pour nourrir tout le monde. Quelques laïcs vivaient et travaillaient aussi autour de la communauté. Il y avait par exemple cette vieillarde qui venait dans la cour principale de l'abbaye. De nombreux pauvres hères venaient profiter de l'hospitalité du lieu et s'installaient à même le sol dans la cour. Beaucoup d'entre eux avaient des problèmes de santé et la vieille s'occupait d'eux. C'était une sorte de guérisseuse, et elle soignait particulièrement les dents. Je la voyais fouiller dans la bouche de ses patients. Cette vieillarde est aujourd'hui ma belle petite-fille.
J'étais assez lié à un moine qui avait une position importante dans l'abbaye. C'était quelqu'un de très organisé et pragmatique, il s'occupait de la gestion des lieux au quotidien, l'approvisionnement, la propreté, l'administration, etc. C'était un homme plus vieux que moi, grisonnant et rondouillard, qui s'appelait Caetano ou plus probablement Catone. Je l'aidais parfois dans ses différentes tâches. Cet homme est revenu dans ma vie aujourd'hui sous les traits de mon épouse. Drôle de situation, non ? Mais passée la surprise du changement de sexe, je retrouve bien ma femme dans la personnalité de ce moine. Elle est très religieuse, et a le même esprit pragmatique de gestion au quotidien.
Mais revenons aux moines. J'en ai vu quelques autres qui sont des incarnations passées de proches d'aujourd'hui. Il y avait celui dont j'avais parlé précédemment et à qui je confiais mes doutes sur ma foi, il s'appelait sans doute Mariano et c'est mon père aujourd'hui. Il y avait aussi un nommé Lorenzo, et un autre avec un nom du genre « Cagliaro », qui sont des amis actuels. Il y avait aussi un autre moine du nom d'Aurélien, qui est un neveu aujourd'hui.
Un soir, des bruits terribles se firent entendre dans l'abbaye. Je sortis en catastrophe de ma chambre pour voir ce qui se passait. C'était le chaos absolu, l'abbaye subissait une attaque. Des gens couraient dans tous les sens, les lumières des torches s'agitaient. C'étaient les barbares nordiques qui nous agressaient. Je vis au sol le corps d'Aurélien, égorgé. Terrifié, j'eus quand même le sang-froid de courir vers la chapelle. Je voulais sauver le principal s'il pouvait l'être, le matériel de culte. A la chapelle je retrouvais Catone qui était là lui aussi. Il avait eu la même idée. Il s'accrocha à une statuette de la vierge Marie qu'il voulait sauver à tout prix. Je ramassais deux ou trois autres babioles dont une croix d'or, et on se précipita tous les deux vers une porte latérale qui menait à l'extérieur. Derrière nos agresseurs incendiaient l'abbaye. On ne pouvait rien faire pour nos camarades. Dehors on courut le plus vite possible vers le haut de la colline, où on se cacha dans les buissons. C'était l'hiver, on était gelés et on se blottit l'un contre l'autre pour se réchauffer. Je ne sais pas combien de temps on resta là, mais on ne nous retrouva pas.
Ce que je vis plus tard c'était une abbaye dévastée et désertée. Quelques mois après le drame j'étais encore là en haut du grand escalier d'entrée. J'avais laissé tomber la robe de bure. J'errais en haillons autour des ruines, barbu et appuyé sur un bâton. Un jour un jeune moine vint à ma rencontre, il s'appelait Rodolfo. Il prit le temps de me parler. Les moines voulaient reformer la communauté. Ils voulaient que je me joigne à eux. Sans hésitation j'ai refusé. J'avais définitivement perdu la foi en ce dieu qui permettait de telles horreurs. Ce jeune moine, c'était le viking Einarr réincarné, mon frère.



Finalement vous voyez, cette vie de moine n'a pas été de tout repos comme j'aurais pu le penser au départ. Et les détails de ces souvenirs m'ont permis de la situer plus précisément, géographiquement et dans le temps. Je savais déjà que c'était en Italie au Moyen-Age. Les premières recherches m'ont montré quatre ou cinq abbayes qui pouvaient correspondre à la mienne, à Rome, dans le centre du pays, dans le sud, ou en Sicile. Deux d'entre elles se sont détachées, San Vincenzo al Volturno en Molise, et Monte Cassino près de Rome, la première abbaye fondée par St Benoît. Monte Cassino a bien subi une attaque des lombards, mais elle ne ressemble pas franchement à ce que j'ai vu. San Vincenzo al Volturno, d'après une reconstitution illustrée, ressemble beaucoup à mes souvenirs, et notamment le grand escalier d'entrée. Par contre l'histoire ne dit pas qu'elle a subi une attaque de nordiques. Cependant on nous dit que l'abbaye a été reconstruite au 11ème siècle sur la rive opposée de la rivière Volturno parce qu'on craignait une attaque des normands qui dévastaient l'Italie à cette époque. Ca, ça m'a intrigué. L'abbaye était grande et bien bâtie, de nombreux moines y vivaient. Je ne voyais pas pourquoi on aurait tout abandonné d'un seul coup pour reconstruire juste à côté, ça ne tenait pas debout. Mais si l'attaque avait vraiment eu lieu tout s'expliquait. D'après ce que j'ai vu c'est le cas, et je suis persuadé que le moine Pragmatus vivait dans cette abbaye San Vincenzo al Volturno. L'attaque des normands a probablement eu lieu entre 1049 et 1059 quand les normands du Royaume de Sicile combattaient les forces pontificales dans la région. L'abbaye a été pillée et démolie, et on comprend alors pourquoi les moines ont eu besoin de tout reconstruire, et pas forcément exactement au même endroit.

Ce qui est intéressant c'est le lien qu'on peut faire avec la vie du viking Thorbjörn. Les raids vikings ont dévasté toute une partie de l'Europe et notamment de la France. Ils pillaient les villes et les abbayes, ne laissant que des ruines derrière eux. Thorbjörn a péri lors de l'assaut sur St Lô, semble-t-il, mais il a sûrement aussi participé à des pillages d'abbayes. C'était au 9ème siècle. Et voilà que moins de deux siècles plus tard, il se réincarne dans la peau d'un moine bénédictin. Et celui-ci se retrouve victime d'une attaque de normands, descendants des vikings. Souvenez-vous du parallèle que j'avais fait précédemment entre la vie du centurion romain Gracius et celle du druide gaulois Loïc (voir l'article 3- le romain et le druide). Le centurion avait participé à la conquête de la Gaule par César, et avait persécuté les gaulois. Puis il s'était réincarné en druide gaulois et s'était retrouvé lui-même victime de la persécution romaine. J'avais expliqué ça par la loi du karma, œil pour œil, dent pour dent, par laquelle tout ce qu'on fait finit par nous revenir en pleine figure. Apparemment il en est de même pour ces deux incarnations en viking puis en moine. C'est donc un deuxième exemple de l'inversion de rôles qu'il peut y avoir quand on commet dans une vie des actes de cruauté. Pensons-y quand on est tenté de se laisser aller à des penchants de ce genre, même si ce n'est qu'en suivant un groupe. D'après ce que j'ai revécu, Thorbjörn n'était pas particulièrement cruel. C'était un homme normal qui souhaitait le bonheur des siens. Mais il a suivi un chef et un groupe tournés vers le même but, et il a obéi à la dynamique du groupe sans se soucier de la moralité de leurs actes. Même s'il n'a pas agi par pure méchanceté, il a quand même dû faire face aux conséquences de ses actes dans une vie suivante.

J'ai fait le lien à chaque fois entre les noms des moines et les personnes qu'ils sont devenus aujourd'hui. Dans certaines vies j'ai retrouvé une poignée de personnes de mon entourage, mais on dirait qu'à cette époque et dans cette abbaye c'est un large groupe qui s'est incarné ensemble. Aujourd'hui ce groupe est constitué de quelques familles et amis qui forment un cercle par affinité, une sorte de tribu. J'aime bien ce terme de tribu d'âmes, il définit assez bien ce concept je trouve. Les membres de cette tribu se sont incarnés séparément ou par petits groupes dans des lieux et à des époques différentes. Et parfois ils ont eu l'envie ou le besoin de se retrouver incarnés tous ensemble. On dirait que c'était le cas dans cette abbaye San Vincenzo al Volturno, où une grande partie de ma tribu d'âmes s'est retrouvée. D'après mes recherches récentes, cette tribu s'est incarnée massivement ensemble à plusieurs périodes, en particulier pendant la Guerre des Gaules où j'étais Gracius le centurion, puis dans l'abbaye italienne où j'étais Pragmatus, puis encore dans l'Angleterre du 18ème siècle où j'étais Sir Hoghton, puis dans la France du 19ème siècle où j'étais le peintre Corot, avant de se retrouver de nouveau au tournant des 20ème et 21ème siècles en France. La réincarnation de groupe peut expliquer certains cycles de l'histoire, comme je l'évoquais dans l'article 5. Si plusieurs tribus d'âmes se réincarnent plusieurs fois ensemble, c'est un large groupe de population qui influence l'histoire par son karma collectif. De cette façon on peut faire des parallèles. La tribu d'âmes qui s'est incarnée pendant la Guerre des Gaules était originaire d'Italie et a vécu une période chaotique de conquêtes. Lorsqu'elle s'est incarnée après l'an mille, c'était de nouveau en Italie où elle s'est retrouvée dans une terre de conquêtes : à cette période les arabes, les chrétiens du Pape, les normands se disputaient l'Italie. On peut aussi faire le parallèle entre l'Angleterre du 18ème siècle et la France du 19ème siècle. C'étaient toutes deux des périodes qui suivaient des révolutions et où il fallait réinventer une société. L'Angleterre a vécu deux révolutions au 17ème siècle qui ont mené à la monarchie constitutionnelle qu'on connaît aujourd'hui. Et bien sûr on connaît tous la Révolution Française de 1789 et l'accouchement difficile de la République au 19ème siècle. On le voit, l'histoire semble parfois bégayer et finalement ça peut s'expliquer par la réincarnation de groupes. Je rêverais de pouvoir analyser toute l'histoire à travers le prisme des réincarnations de groupes. Ca demanderait un travail de titan, mais l'intérêt serait de comprendre alors les forces qui agissent dans notre monde actuel et voir vers quoi on se dirige. Comme je l'expliquais dans l'article 11 sur le futur, en ayant connaissance de son passé on peut avoir une influence sur son présent et donc son avenir. Ce qui est vrai pour sa propre vie l'est aussi de manière plus globale pour des régions, des pays, ou l'humanité entière. C'est utopique mais ça fait rêver, non ?

5 commentaires:

  1. Bonjour Guilaume, c'est intéressant cette idée de réincarnation de groupe, on parle de famille d'âmes, mais je ne sais pas comment tu fais pour savoir que telle personne de nos jours était dans une autre vie ton frère, ta mère ou ton père etc. Pour moi c'est bien difficile, je sais que j'ai une très longue histoire avec mon fils d'aujourd'hui, avec l'homme de ma vie que j'ai reconnu dans de nombreuses existences,je ne retrouve rien avec ma mère, pourtant je sais que nous avons un lourd karma ensemble. J'ai fait la comparaison astrologique en thème karmique avec eux, ce qui m'a fait découvrir plein de choses,plusieurs vies avec mon fils, mais pas grand chose avec ma mère.
    Je te remercie pour tous tes récits et tes dessins explicites, amitiés.

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    1. Le lien entre telle et telle personne n'est pas toujours facile à faire. J'ai des certitudes à ce sujet quand je me concentre sur une personne proche aujourd'hui en particulier pour aller chercher une correspondance dans le passé. Merci pour tes réactions !

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  2. Bien sur , le grand equilibre de la vie ce que tu fais aujourd’hui, on te le refera demain.
    Par contre guillaume, tu noteras que l'évolution vers laquelle on tend. Te fait d'abord etre bourreau :
    romain puis druide et viking puis moine ! et pas l'inverse. Lorsque tu es bon et juste dans une vie, tu passes a autre chose qui n'est pas en lien avec les vies précédentes, mais le sera peut etre avec les vies suivantes (toujours pour apprendre).

    Sinon qu'entends tu par etudier l'Histoire par rapport au tribu d'ames ? le bégyement de l'Histoire représenterait l'equilibre de vie de nos réincarnations ?
    Oeil pour oeil
    Uns mauvaise vie de tortionnaire puis une vie meilleure, mais de victime ?
    Donc puisque l'on se réincarne en groupe d’âmes que je vois en cercles concentriques (du plus petit avec nos ames soeurs -qui sont toujours avec nous-et plus grand avec la tribu d'ames -qui sont parfois avec nous- dans nos réincarnations) l'histoire se répetera tant que le groupe d'ames -tortionnaires- n'aura pas vecus en -victimes- pour son évolution et son équilibre de vie.
    Donc , si des ames de ta tribu d'ames (du cercle moyen à grand) n'a pas fait subir de choses négatives dans une vie, ces ames vont attendre de l'autre coté, que les ames de la tribu vivent leur deuxième vie de repentis.
    Et se retrouveront dans la suivante pour la suite de l'évolution.

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    1. Dire que les cycles se font uniquement d'un point de vue bourreau-victime c'est un peu trop schématique. J'ai dit les choses simplement pour éclairer le mécanisme tel que je le vois. Mais bien sûr c'est plus complexe que ça. Il y a le karma de groupe, mais chacun a aussi son karma personnel. Donc non, les âmes ne vont pas forcément attendre de l'autre côté. Peut-être le feront-elles, peut-être suivront-elles le groupe incarné mais en suivant un chemin de vie différent, ou peut-être iront-elles simplement s'incarner ailleurs. Les tribus ne sont pas figées selon moi, les âmes vont et viennent et ne se retrouvent pas forcément toutes ensemble dans toutes leurs vies.

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  3. D accord. C était mon ressenti jusque là car dans les 4 vies que j ai explorées mes deux enfants sont près de moi donc j en avais déduit un schéma en cercle avec une participation plus où moins active selon la présence dans tel ou tel cercle.
    Il me faut donc d autres vies pour agrandir mon champs d exploration.
    Merci Guillaume.

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