Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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18- l'alchimiste, la quête de la connaissance



Malgré tous les articles que j'ai déjà écrits, je me rends compte qu'il me reste encore beaucoup d'expériences à raconter, de vies à détailler. Je continue mes recherches, et je vais de découverte en découverte. Et il est un peu difficile de choisir le sujet que je vais aborder dans le prochain article, j'ai envie de parler de tout à la fois. Mais il faut bien faire un choix, et j'ai donc décidé de m'arrêter pour cette fois sur une vie antérieure qui explique en grande partie mon intérêt d'aujourd'hui pour les mystères de l'univers. Je l'ai à peine évoquée dans le précédent article puisque j'y avais aussi ressenti cette fameuse douleur dans le cou ; il s'agit de cette vie à la Renaissance où je me trouvais initié dans une société plus ou moins secrète. J'ai retrouvé de nombreux détails de cette existence depuis, et elle est vraiment intéressante même s'il reste encore beaucoup de mystères.

Souvenez-vous, lors d'une régression j'avais vu cet homme se faufiler la nuit dans les rues d'une ville. Il était guidé par un homme en noir qui l'amenait à un rendez-vous secret. Là, à la lueur de quelques bougies, il rencontra une autre personne. Les deux hommes semblaient le questionner, le tester, peut-être déjà lui enseigner quelque chose. J'avais eu ensuite le vague aperçu d'une cérémonie avec des symboles ésotériques. Je n'avais rien de plus que ça, à part l'impression que cet homme s'était sans doute intéressé à l'alchimie. Les costumes et les décors m'évoquaient la Renaissance, sans que je puisse avoir plus de précisions. Je vous donne ce que j'ai découvert depuis, en essayant de les replacer dans un ordre chronologique.

Après l'habituelle plongée dans le tunnel du temps, je me retrouve donc dans la peau de cet homme de la Renaissance. Je suis en compagnie d'un ami, un jeune homme de mon âge, vêtu de pourpre et portant une sorte de large béret. Je nous vois jouer aux échecs, on apprécie particulièrement de s'affronter à ce jeu. Lui porte un nom à consonance germanique, je crois entendre Bulof et peut-être le prénom Karl. Je me concentre pour essayer de percevoir mon propre nom, et j'entends vaguement un nom à l'italienne qui sonne comme une petite musique, « ca-ta-ca-to ». Et je crois que mon prénom est Giovanni. Mon ami est joueur mais aussi frivole, j'ai la sensation qu'il collectionne les conquêtes. Il courtise particulièrement une jeune dame voluptueuse que je sens liée au chant et à la religion. Un soir, nous sommes dans une rue étroite bordée de hautes maisons et où coule un canal. A un croisement avec une ruelle, je vois mon ami en plein baiser torride avec sa conquête. Il la tient contre le mur, soulève sa robe et s'apprête à lui faire son affaire comme ça, comme une moins que rien. Elle, elle résiste à peine. Moi, je suis un peu plus loin, guettant de tous côtés pour m'assurer que personne n'assiste à la scène. Je suis un peu agacé par le comportement de mon ami. Je ne vois pas la suite de cette scène, j'ai juste l'impression que la vie de cette jeune fille va être brisée par ce moment d'intimité hors mariage. Cette relation n'aura pas de suite, elle espérait peut-être plus mais sera jetée comme une vieille chaussette.
Mon ami et cette femme je les connais dans ma vie d'aujourd'hui, et ce que j'ai vu à cette époque peut expliquer complètement leurs relations et la tournure qu'a pris leur vie actuelle. Mais je ne m'étalerai pas davantage sur le sujet, c'est du domaine privé. Par contre je peux parler des noms que j'ai perçus. En cherchant ce que je pouvais trouver sur « Bulof », j'ai trouvé une vieille famille allemande qui s'appelle Von Bulow. Mais je n'ai pas trouvé de généalogie pour rechercher s'il y avait un Karl et confirmer que c'est bien cette famille. Pour mon propre nom j'ai trouvé une famille vénitienne qui portait le nom Castriota, ou Castrioto. Ca se rapproche de ce que j'ai entendu et là il se trouve que j'ai retrouvé des Giovanni, dont un qui aurait vécu grosso modo entre 1450 et 1515, ce qui, on le verra après, colle à la période de cette vie. Pourquoi une famille vénitienne ? Plus haut j'ai bien parlé d'un canal au bord de la ruelle. Et on va voir après que les autres scènes de cette vie montrent sans aucun doute qu'il s'agit de Venise.

Giovanni et Karl font partie d'un groupe d'amis qui partagent le goût du jeu. J'ai vu une réunion amicale entre eux autour d'une partie de cartes. Ca se passait sur une sorte de barge sur l'eau aménagée en petite salle de jeux, sur un canal qui se trouvait probablement à Venise donc. Parmi les amis présents j'ai vaguement perçu des noms comme Caetani et Norenzoni. Celui qui se nommait peut-être Caetani aura une fin tragique. J'ai vu une scène où j'entre dans ses appartements et il est là, mort par terre. D'autres personnes sont aussi sur place et s'occupent de la situation. Et je suis horrifié, car j'ai l'impression que ce n'est pas une mort naturelle. Est-ce qu'il y aurait une histoire d'argent là-dessous ?
Une autre vision de cette vie fait un lien avec Venise. Il s'agit d'un bal masqué. Je suis habillé de noir, avec un masque blanc. En regardant mes mains je comprends que je suis déjà plus vieux. On y voit les signes de l'âge. La petite fête se tient dans un bâtiment très luxueux de style Renaissance. Il y a de nombreux invités, et je sais que certains d'entre eux sont membres de la société secrète dont je fais partie aussi. Je vois notamment une jeune dame à qui je fais un signe de la main. Elle s'appelle peut-être Giovanna, avec un nom qui est sans doute Peruzzi.
Cette dame possède une demeure de style gothique, avec des voûtes et des bas-reliefs sculptés. Elle y reçoit plus tard ses confrères de la société secrète, vêtue de noir. J'y suis, en noir moi aussi. Elle nous emmène dans le sous-sol de sa maison, où passe un petit canal souterrain. Là, dans un renfoncement, se trouve une tombe, une sorte de sarcophage où repose son père. J'ai l'impression qu'on lui rend hommage car il a beaucoup fait pour notre groupe. Il n'en est sans doute pas le fondateur, mais peut-être un mécène qui nous finançait. En tout cas il était riche. Et sa fille continue son œuvre. J'entends un prénom pour lui, Matteo.
Bien sûr les bals masqués étaient une occupation classique des aristocrates de la Renaissance, et surtout à Venise. Avec les visions de canaux, ça me confirme que ça se passe bien dans cette ville. Concernant le nom Peruzzi j'avais perçu quelque chose d'approchant. Or au 15e siècle la famille Peruzzi était une très riche famille de banquiers et commerçants florentins. En 1478 leur participation à un complot contre les célèbres Medicis, la conjuration des Pazzi, les fit un peu tomber de leur piédestal. Des branches de la famille quittèrent Florence pour s'installer ailleurs, notamment à Venise. Je n'ai pas retrouvé cette Giovanna Peruzzi, mais je sais qu'il s'agit de ma belle-soeur aujourd'hui. Par contre il y a eu un Matteo Perozzi qui était trésorier de la ville d'Ascoli, dans la région des Marches en Italie, en 1454. Un financier donc, ça colle avec l'homme riche que j'évoquais. Ascoli n'est pas Venise, d'accord, et Perozzi n'est pas Peruzzi. Cependant à l'époque on n'était pas à cheval sur l'orthographe des noms, et ceux-ci évoluaient parfois selon les prononciations et les retranscriptions. Et pour Ascoli, on verra après qu'une autre vision m'a fait prendre cette piste au sérieux.

D'autres régressions m'ont permis d'avancer sur la connaissance de la fameuse société secrète dont faisait partie mon Giovanni Castrioto. Je me voyais de nouveau participer à une sorte de réunion cérémonielle où nous portions tous des capes noires, et avec une armure d'apparat noire en point central. Un jeune homme brun dirigeait les séances. Il portait un nom comme Costello ou Coziello. Parfois une poignée de membres de la confrérie se retrouvaient chez l'un ou l'autre, ou sur une embarcation sur les canaux. Et j'ai vu qu'ils essayaient d'étudier des manuscrits anciens qui contenaient des formules, des dessins géométriques, en fait des connaissances anciennes.
Voilà donc quel était l'objet de cette soi-disant « société secrète ». Au 15e siècle on était déjà dans la Renaissance en Italie. Le savoir venu des anciennes civilisations méditerranéennes et orientales commençait à être étudié. Ce n'était qu'un début et cette connaissance n'était sans doute diffusée qu'à des initiés qui avaient les moyens de se procurer des documents très rares, ce qui était très cher. D'où cette organisation entre quelques membres triés sur le volet, et des besoins financiers importants. J'avais senti quelque chose en lien avec l'alchimie. L'alchimie n'est pas qu'une discipline qui cherchait à changer le plomb en or. C'était un domaine de recherche assez vaste. Ceux qu'on appelle alchimistes étaient des scientifiques, des philosophes, des érudits qui cherchaient à comprendre le monde et l'univers. Il se trouve qu'approximativement à l'époque de cette vie passée et à Venise, un certain Giovanni Agostino Panteo a publié en 1519 avec l'autorisation des autorités vénitiennes un traité de voarchadumie ou archimie, une branche de l'alchimie. Quelques années plus tard ce livre sera finalement interdit, sans doute car il heurtait les convictions religieuses. Or j'ai trouvé la mention d'une société secrète de cette époque à Venise qui s'appelait Voarchadumia. Il y a forcément un lien avec Panteo puisqu'on lui attribue l'invention de ce mot. Il faisait sûrement partie de ce regroupement, même avant la rédaction de son ouvrage. Celui-ci devait être une synthèse des résultats de ses recherches.



Je pense donc avoir bien retrouvé cette société plus ou moins secrète de chercheurs-alchimistes dont faisait partie Giovanni Castrioto. Mais leurs travaux ne se faisaient pas sans difficultés. Car dans d'autres régressions qui se situent sans doute quelques années plus tard, j'ai eu la sensation que les premiers leaders de la confrérie avaient disparu. Dans le froid de l'hiver, j'ai vu un rendez-vous avec Giovanna Perozzi. Elle continue de financer nos activités et a pris une place plus importante dans l'organisation. On discute affaires. Je ne veux pas lui laisser tout le fardeau, je crois qu'on compte sur moi mais je suis réticent à prendre plus de responsabilités.
A un autre moment, dans un autre lieu, je me vois dans une pièce aux murs de pierre, en bas d'un escalier. Je suis face à un lutrin sur lequel est posé un grimoire que j'étudie. J'ai l'impression que je ne suis plus à Venise mais dans une autre ville italienne, peut-être momentanément. D'ailleurs la scène change et je me retrouve marchant sous une galerie bordée d'une colonnade. Je suis accompagné d'une jeune femme. Ce n'est pas Giovanna mais je sens qu'elle est liée à elle, peut-être est-ce sa jeune sœur. On discute affaires là encore, peut-être une négociation pour un financement. Mais j'ai l'impression que c'est plus difficile qu'avec Giovanna. Je sens comme une relation conflictuelle entre elle et moi. C'est à ce moment que j'ai ressenti pour cette vie la douleur dans le cou dont je parlais dans l'article précédent.
C'est avec cette scène qui ne se passe pas à Venise que j'ai fait les recherches qui m'ont menées à Matteo Perozzi et la ville d'Ascoli Piceno. En regardant des photos de cette magnifique petite ville médiévale, j'y ai vu une place importante qu'on appelle la Piazza del Popolo. Et elle est entourée de galeries à colonnades de style Renaissance. C'était très ressemblant avec ce que j'avais vu. Alors on pourrait se dire que ces colonnades n'existaient peut-être pas encore à la fin 15e début 16e siècle, et j'y ai pensé aussi. Mais une recherche plus poussée a montré que le gouverneur Raniero de Ranieri avait un plan d'urbanisme pour la ville et qu'en 1507 il imposa la création de portiques à colonnes pour les boutiques entourant la place. Ca correspond exactement aux dernières années de la vie de Giovanni Castrioto. Ca fait beaucoup de coïncidences et il ne m'en faut pas plus pour valider Ascoli, et par là même Matteo Perozzi qui fait le lien avec Giovanna et sa sœur. Celles-ci étaient probablement ses filles, et Giovanna l'aînée a dû transférer ses activités à Venise. La cadette est restée à Ascoli, où Giovanni est allé la rencontrer.

Voilà le récit de cette vie, du moins ce que j'en ai vu jusqu'au moment où j'écris cet article. Tout récemment j'ai revécu les derniers instants de Giovanni. Pour une fois c'était une mort tranquille, dans son lit. L'année 1515 m'est venue à l'esprit. Le vieil homme était seul dans sa chambre, allongé mais éveillé. Il eut une quinte de toux, peut-être était-il malade, puis il s'éteignit. Je me vis alors flotter au-dessus du corps mort dans son lit. J'avais fait cette régression justement pour essayer de voir ce qui se passait après la mort. Et je n'ai pas été déçu car j'ai effectivement eu des aperçus de ce qui se passait ensuite et jusqu'à l'incarnation suivante. Mais j'en parlerai plus tard dans un prochain article. C'était assez bref, un peu étrange et j'ai besoin d'autres expériences pour préciser tout ça et pouvoir en parler de manière plus claire.
En tout cas, ce que j'ai retrouvé de la vie de ce Giovanni Castrioto m'a vraiment éclairé sur lui et la société secrète que j'avais juste entrevue les premières fois. Je m'imaginais alors une confrérie d'occultistes et alchimistes avec des rituels magiques, des secrets incroyables et des complots improbables. C'était très romanesque, c'est bien mon côté rêveur ça ! Mais non, en fait, la réalité qui se dégage de ce que j'ai raconté juste avant, c'est plutôt que cette société était une association de personnes qui cherchaient la connaissance. Dans cette période où on sortait à peine du Moyen-Age et de l'Inquisition, eux étaient à la recherche de quelque chose de plus que ce que leur proposait la société ultra-religieuse de leur époque. Les connaissances antiques commençaient à peine à être redécouvertes en Europe grâce aux explorateurs et aux échanges commerciaux dont l'Italie était une plaque tournante. Il fallait avoir des moyens financiers pour se procurer des documents rares, et il fallait être relativement discrets afin de ne pas s'attirer les foudres d'une église surpuissante et réfractaire à tout ce qui pouvait la fragiliser. D'où ces réunions à l'atmosphère étrange de secte qui ne servaient en fait qu'à s'assurer que ceux qui participaient étaient connus de la confrérie et partageaient le même esprit libre de chercheur.
Cette vie est sûrement de celles qui ont une grande influence sur ce que je réalise aujourd'hui avec Past Lives Project. Comme Giovanni Castrioto à son époque, je suis dans la recherche de connaissances et de vérités dans des domaines qui sont encore à la marge de notre société moderne. Et bien que j'effectue mes expériences et explorations en solitaire, je me rends compte que je ne suis pas seul. Depuis que j'ai commencé à parler de mes expériences et diffuser mes découvertes, j'ai réalisé que beaucoup de monde était engagé dans une démarche similaire. Je me suis trouvé en contact avec de nombreuses personnes qui ont connaissance de leurs vies antérieures et effectuent des recherches sur la réincarnation, ou sur des domaines qui sont en lien plus ou moins direct avec cette réalité : esprits, médiumnité, états de conscience, voyage astral, rêves, etc...
« Le 21e siècle sera mystique ou ne sera pas » aurait dit André Malraux en 1968. Je crois qu'il avait raison. Je le constate, la plupart des gens ne se contentent plus d'une explication matérialiste du monde qui les entoure. La connaissance doit progresser, et avec cette connaissance la science et la spiritualité vont se rapprocher car elles mènent à la même chose : la réalisation du potentiel de l'être humain.
 

7 commentaires:

  1. Bonjour Guillaume, merci pour cette histoire fascinante, qui me rappelle ma vie de Giordano Bruno.
    Je te souhaite encore beaucoup de découvertes et je te remercie de nous les faire partager, bien amicalement.

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    1. Je serais très intéressé d'en savoir plus sur ta vie de Giordano Bruno. C'était aussi à Venise ? Raconte un peu, si tu en as envie bien sûr.

      A bientôt

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  2. Il n'est pas facile pour moi de raconter ce genre d'expériences en public. Je l'ai fait brièvement sur Minuit, mais dans un secteur qui n'est pas accessible à tous, tu peux demander à Chantara de t'en donner l'accès. D'ailleurs même moi je ne peux plus les lire à présent, ce qui ne me plait guère. Mais je n'y ai pas parlé de Giordano Bruno, c'est le seul personnage connu que j'ai retrouvé. Je ne veux pas non plus donner mon adresse mail ici, mais si tu viens sur mon blog, écris-moi sur le formulaire de contact, et alors je pourrai te répondre en privé:
    http://triskele.eklablog.com/
    A bientôt peut-être et merci, amicalement.

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    1. Je ne connaissais pas ce personnage, je viens de regarder sur wikipedia. Intéressant. Je te recontacte.
      Merci

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  3. Une chose m'interpelle Giordano Bruno, Giovanni Castrioto. et léonard de Vinci etaient contemporains. Ne se sont ils pas rencontrés ?
    Cela pourrait etre interessant et drole de voir que l'on se croise aujourd'hui, et que l'on a évolué dans le meme univers dans cette vie de la renaissance ?


    D'ailleurs, comme Simple Demoiselle sur Minuit que j'ai croisé avec ma fille (IRL) dans nos vies sur le Titanic, et dans l'affaire des poisons sous le roi soleil.... ?n
    je trouve ca fascinant ?
    Quand pensez vous ? Triskel et Guillaume

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    1. En tant que Giovanni Castrioto je suis mort vers 1515. Giordano Bruno est né plus tard en 1548, donc impossible que je l'aie rencontré. Par contre Léonard de Vinci était à Venise en 1499-1500. Donc là il y a une vraie possibilité de rencontre. Mais Venise était grande...
      Cela dit, je me suis aussi posé la question si une affinité par une simple relation internet pouvait provenir d'une rencontre dans une vie antérieure. Après tout, la rencontre physique est-elle indispensable ? Une conversation, qu'elle soit virtuelle ou face à face est toujours un échange d'esprit à esprit. Donc je ne suis pas étonné que des personnes qui entrent en relation via internet découvrent qu'elles se sont déjà rencontrées dans des vies passées.

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  4. Effectivement, je n'avais pas vérifié leurs dates de naissance.
    Maintenant pour léonard et Giovanni se sont deux esprits erudits et chercheurs qui peuvent tres bien avoir ete en contacte pendant quelques temps. Les grands hommes, à l'époque entretenant des correspondances actives.

    Tu reponds partiellement à mon questionnement, après recherches il s'avère que je partage avec ma fille et avec "Simple Demoiselle" sur mon forum 2 vies et peut etre 3 de ce que j'ai pu retrouver. C'est Etonnant ! Oui l'echange est verbal , c'est l'esprit qui se souvient.

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