Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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19- le babylonien, les figures mythologiques



Aujourd'hui j'ai envie de parler un peu de religion. Mais attention pas de polémique, je ne vais pas faire de débat enflammé sur les croyances actuelles, je ne compte pas vous parler de Dieu, d'Allah ou de Jehovah. Ca ce sera peut-être pour une prochaine fois ? Pour le moment je vais remonter bien plus loin et évoquer la mythologie antique. Ha bon, parce que la mythologie c'est de la religion, me direz-vous ? Mais bien sûr chers amis, les mythes antiques racontent bien les histoires des anciens dieux et héros. Et qui dit dieux dit religion, même s'ils sont plusieurs et qu'il s'agit de polythéisme. Les mythologies sont les religions de nos ancêtres. Et donc, pour parler de dieux et de religions antiques, il faut que je revienne sur une de mes vies antérieures qui date de cette époque. Vous connaissez ma façon de faire, je n'aime pas parler de manière trop théorique, et pour tous les sujets que j'évoque, je m'appuie sur ce que j'ai vu ou que je connais personnellement, que ce soit par l'expérience de ma vie actuelle ou d'une vie passée. Je vais donc revenir sur une vie que j'avais située en Mésopotamie, et plus probablement à Babylone.

Je n'avais fait qu'une seule régression qui avait ramené un souvenir de cette vie, mais il y avait pas mal d'informations qui lui donnaient de la consistance. D'abord j'avais assez nettement entendu un prénom, Elkil. Cet Elkil était un jeune homme dans une petite cité de Mésopotamie, une ville qui me semblait être à ses débuts. Je ne vais pas revenir sur les détails, j'en ai déjà parlé. Elkil était intéressé par une fille qui apparemment céda plutôt aux avances d'un autre, un beau jeune homme plus entreprenant que lui. Ce rival et cette jeune femme, je les avais identifiés comme étant aujourd'hui mon frère et son épouse. J'avais eu aussi un aperçu de la muraille et des portes de la ville, quelque chose d'assez rudimentaire en terre séchée. J'ai eu également la vision de soldats ainsi que de prêtres. Par ailleurs le nom de Sémiramis m'avait été évoqué. La légendaire reine Sémiramis est associée à la fondation de la ville de Babylone. Comme les images que j'avais vues suggéraient une petite ville émergente, en développement, j'en ai déduit que ça devait être Babylone à ses débuts. L'archéologie situe habituellement la fondation de cette cité vers 2300 ans avant JC, parce que c'est à cette époque que son nom apparaît pour la première fois sur des tablettes mésopotamiennes. Mais rien ne prouve qu'elle n'a pas été fondée plus tôt. Pour ma part je situe donc globalement la vie d'Elkil dans le courant du 3e millénaire avant JC, ou peut-être dans les premiers siècles du 2e millénaire. Voilà où j'en étais alors et je n'avais pas plus d'informations. Mais j'en ai découvert davantage depuis. Ce n'est pas très long ni très palpitant mais il y a des détails intéressants qui m'en disent plus sur cette vie et cette époque.

4... 3... 2... 1... 0.... Je traverse le tunnel du temps à toute vitesse et à la fin du compte à rebours je traverse une lumière blanche. Lorsqu'elle s'estompe, je me retrouve dans un endroit fermé, une grande bâtisse aux murs de pierre. Je suis dans la peau d'Elkil le babylonien. Je suis agenouillé en adoration parmi une foule de fidèles tous agenouillés eux aussi. Quelques lampes diffusent une lumière chaude dans la grande salle, éclairant plusieurs statues de grande taille alignées dans le fond. Nous regardons tous vers elles. L'une d'elles attire particulièrement mon attention et je la vois assez distinctement, les autres restant dans le flou à la périphérie de mon regard. C'est une sorte de sphinx, c'est le mot qui me vient immédiatement, car il s'agit d'un lion à tête d'homme, une tête barbue.
La cérémonie se termine et la foule se disperse vers la sortie. Je me faufile parmi les gens pour aller retrouver un prêtre que je connais. Je veux lui parler. Il a ce look particulier que j'avais déjà vu dans ma première régression sur cette vie, lorsque j'avais vu un groupe de prêtres marcher dans la rue. Ils étaient chauves, les yeux cernés de noir, maquillés au kohl, et portaient des boucles d'oreilles en forme de demi-lune couchée. Celui à qui je parle a exactement la même apparence. Il me semble qu'il porte un nom comme La-cha-ir, que j'écrirai Lashaïr. Je lui parle sincèrement, je sens qu'on se connaît bien. Peut-être est-ce un ami ou un membre de la famille qui s'est engagé dans les ordres. Je lui fais part de mes états d'âme, peut-être au sujet de la fille et de ma déception. Il m'écoute et me réconforte. Je sais que je connais ce prêtre dans ma vie actuelle. Il s'agit d'un de mes neveux. C'est assez étonnant, ces changements de vie en vie au niveau des occupations et de nos relations m'amènent à porter un regard différent sur ces personnes proches de moi aujourd'hui. Ce neveu, qui est encore un enfant bien sûr, a fait le choix étonnant de suivre un enseignement religieux alors que ses parents ne sont pas du tout pratiquants et ne l'ont pas poussé dans cette voie. Est-ce que cette vie antérieure de religieux l'a influencé jusqu'à faire ce choix aujourd'hui ? Je le pense.
Dans cette séquence vous avez remarqué qu'il y a des détails intéressants : l'apparence du prêtre et la statue du dieu-sphinx. Ces indices m'ont aidé dans mes recherches, mais j'y reviendrai après car c'est ce qui va m'amener à développer la réflexion sur la mythologie et la religion. Je vais d'abord décrire une autre séquence de cette vie qui se passe manifestement plus tard.
Passé le tunnel temporel, je vois une rue ensoleillée dans la même cité aux bâtiments de terre séchée. A ma droite se trouve un haut mur qui apporte une ombre bienvenue. Je le longe. Je porte des sandales, une sorte de longue toge ou tunique, et une barbe. Il me semble que je suis dans la force de l'âge. J'arrive alors sur un petit espace dégagé, une place, et me dirige vers la droite en direction d'une maison. C'est une belle bâtisse, décorée de quelques couleurs. C'est la maison familiale. J'y entre et me retrouve dans une grande pièce à vivre. Les rares fenêtres ne laissent entrer qu'un peu de la lumière écrasante du soleil. On baigne dans une douce pénombre. Une dame âgée couverte d'un voile sombre est assise sur un tapis au milieu de la pièce. Elle sert le repas, un grand plat parfumé. C'est ma mère, elle porte un nom qui sonne comme Maerat. Plusieurs personnes nous rejoignent, mais je les distingue mal. Il me semble que parmi eux il y a au moins un frère. Nous nous asseyons et mangeons tous ensemble. Cette scène tirait sur sa fin, mais avant de sortir de la régression, une image s'est soudain imposée à mon esprit, une image assez nette, celle d'une fleur blanche parmi un champ de fleurs du même type. C'était une petite fleur simple à gros pétales.
Je me suis demandé ce que venait faire là cette image qui n'avait rien à voir avec la scène que je venais de voir, apparemment. Mais je sais maintenant avec l'expérience que lorsqu'une image arrive comme ça de nulle part, et qu'elle a une réalité assez forte, c'est qu'elle a une importance ou une signification particulière. Et l'image de cette fleur était très réelle, comme si je pouvais presque la toucher. Je ne m'y connais pas du tout en botanique et je ne savais pas de quelle fleur il s'agissait. La scène de vie de famille que j'ai vue, en elle-même, ne m'apportait pas beaucoup d'informations. Ce qui était intéressant, c'est que je retrouvais là une nouvelle incarnation de ma mère actuelle qui se trouvait être celle que j'ai appelée Maerat, ma mère aussi à l'époque. Mais rien de plus, je n'ai pas pu identifier d'autres personnes. Je me suis donc rabattu sur la fleur pour essayer de trouver de quelle espèce de fleur il pouvait s'agir. La recherche n'était pas évidente avec juste une image comme indice. La fleur de lys me semblait assez ressembler à ce que j'avais vu. Mais elle ne pousse pas en amas serrés avec des tiges plutôt fines comme elle me semblait l'être dans ma vision. Et puis j'ai fini par tomber sur la fleur de lin. Alors là cette fleur est vraiment comme celle que j'avais vue et elle pousse en amas comme de l'herbe folle. Le seul problème c'est qu'à première vue elle n'était pas blanche mais plutôt bleue pâle ou mauve. Ca ressemblait trop à la fleur de ma vision, je ne pouvais pas me contenter de ça. J'ai creusé le sujet et j'ai trouvé qu'en fait il existe d'autres variétés de lin avec des fleurs de couleurs différentes : il y a du rose, et il y a bien aussi du blanc. Le lin, bien sûr, c'est cette plante dont les fibres servent à confectionner du tissu, entre autres. En regardant un peu son historique, on apprend que d'après les archéologues c'est l'une des premières plantes exploitées et cultivées par l'homme. Entre 9000 et 6000 ans avant JC son exploitation est attestée en Asie mineure et en Egypte, et plus tard à Babylone également. On l'aurait cultivée d'abord pour l'huile de lin, puis ensuite pour ses fibres textiles. Mais donc s'il s'agit bien dans cette vision d'une fleur de lin, quel est le rapport avec Elkil et sa famille ? Je ne vois qu'une explication : ils devaient eux-mêmes cultiver et/ou exploiter le lin. C'était sans doute l'activité de la famille. C'est la conclusion que je retiendrai tant que je n'ai pas plus d'informations.



A présent je vais revenir sur la scène précédente qui se passait apparemment dans un temple. Comme je l'ai dit, j'ai déjà vu à deux reprises ces prêtres à l'apparence si particulière : le crâne rasé, les yeux maquillés au kohl, et de larges pendentifs d'oreilles en forme de demi-lune. J'avais beau chercher par moi-même, je ne trouvais rien sur des prêtres de ce type en Mésopotamie. Et pourtant j'avais eu une vision assez précise et je ne pouvais pas l'écarter. J'ai donc insisté et j'ai carrément posé la question sur un forum d'histoire. Et la réponse n'a pas tardé. On m'a parlé d'un texte sumérien intitulé « le voyage d'Enki à Nibiru ». Dans ce texte il est clairement fait référence à des prêtres qui doivent se raser le crâne, et qui utilisent du kohl pour leurs rituels. Par contre ce texte est antérieur à la période babylonienne et fait référence à Sumer. Mais il s'agit de la même région, nous sommes en Mésopotamie. Quelques siècles plus tard Babylone sera l'héritière de Sumer, et donc cette tradition religieuse a pu se transmettre jusqu'à elle. J'ai encore demandé confirmation aux historiens sur le forum, et on m'a répondu que oui, il est tout à fait plausible que ces prêtres aient perduré à Babylone. J'étais vraiment content d'avoir enfin quelque chose de concret sur ces fameux prêtres. Car la première régression qui me les avait montrés datait d'il y a 20 ans, et depuis ce temps-là je n'avais rien trouvé les concernant. Encore une fois ce que j'avais vu finissait par se vérifier. Les boucles d'oreilles en forme de demi-lune ne sont pas mentionnées dans le texte sumérien, mais celles-ci ne sont pas vraiment un mystère. La lune était vénérée en Mésopotamie, personnifiée par un dieu ancien du nom de Sîn en akkadien ou Nanna en sumérien. C'était une divinité très importante, et donc un bijou représentant un symbole lunaire est tout à fait normal. Et surprise ! En écrivant ça je regarde une description de ce dieu sur internet, et que vois-je ? Une sculpture babylonienne où le croissant de lune est représenté couché, dans la même position que les pendentifs d'oreilles que j'ai vu.
Bref, voilà donc ces prêtres qui portaient des symboles du dieu Sîn. Est-ce que ça signifie que le temple lui était dédié ? Rien n'est moins sûr, car la statue que j'ai vue, celle du lion à tête d'homme, n'a rien à voir avec Sîn. Là encore une première recherche n'avait rien donné. Il a fallu que j'insiste un peu pour trouver finalement l'image d'une sculpture mésopotamienne représentant un lion avec des ailes et une tête d'homme barbue. Ca ressemblait tout à fait au sphinx du temple ! Cette sculpture se trouve au British Museum et elle représente Nergal, dieu des enfers. J'ai vu d'autres images où il est représenté sans ailes, ce qui correspondrait davantage encore à ma vision. Mais je rappelle qu'il y avait d'autres statues à ses côtés, sûrement des statues d'autres dieux, et ce temple babylonien n'était donc sans doute dédié ni à Sîn, ni à Nergal, mais à plusieurs dieux en même temps.
La première idée que j'ai eue en voyant cette statue de Nergal, c'était celle d'un sphinx. Sphinx est un mot grec qui se réfère à une créature mythologique de cette culture, mais on la trouve aussi en Egypte, c'est bien connu. Alors y aurait-il un rapport entre Nergal et le sphinx grec ou égyptien ? C'est possible, car on sait que les religions circulent et que les dieux et les figures mythologiques peuvent se transmettre d'une civilisation à une autre. L'exemple le plus connu est celui de la mythologie et du panthéon grec qui s'est transmis aux romains. Zeus est devenu Jupiter, Poséidon est devenu Neptune, Héraklès est devenu Hercule, etc. Ce n'est d'ailleurs pas simplement une transmission mais plutôt une assimilation, car les peuples d'origine de la république romaine, les latins, étrusques et autres, avaient sans doute leur propre panthéon. Et la religion de l'empire romain est donc un amalgame de tout ça. Certains dieux mineurs disparaissent, d'autres qui occupent les mêmes rôles fusionnent, et certains mythes se mélangent. Et quand on s'intéresse un peu à cette fameuse mythologie grecque, on se rend compte que certains dieux et mythes sont peut-être originaires de régions au-delà de la Grèce, en Anatolie et au Caucase. Car la Grèce antique telle qu'on la connaît s'est construite par des migrations de peuples qui venaient de plus loin, les Ioniens par exemple. Plus tard, l'empire romain s'est étendu jusqu'aux confins nord-occidentaux de l'Europe : la Gaule et la Grande-Bretagne. On a donc des éléments religieux et mythologiques qui ont pu se transmettre depuis le proche-orient jusqu'à l'ouest de l'Europe, en passant par les grecs et les romains.
Alors finalement, à côté, la transmission d'une figure de sphinx entre la Mésopotamie et l'Egypte n'est pas étonnante. Je ne dis pas d'ailleurs dans quel sens ça se serait fait. Je n'en sais rien. Ce qui est certain, c'est que la fameuse statue monumentale de sphinx à Gizeh en Egypte est très ancienne, sans doute bien plus que la date de construction donnée actuellement. Et on peut trouver des similitudes entre les sphinx d'Egypte et de Mésopotamie. Nergal est le seigneur des enfers. Dans l'antiquité, les enfers, ça n'a rien à voir avec l'enfer chrétien. Les enfers, c'est juste le séjour des morts, l'au-delà ; rien à voir avec le diable ou une expiation des péchés. Nergal est donc le seigneur du royaume des morts. Et le grand sphinx de Gizeh est en quelque sorte le gardien des pyramides. Les pyramides de Gizeh peuvent être des tombeaux, ce qui n'est pas prouvé au moins pour la grande pyramide dite de Khéops. En tout cas elles sont des portes vers l'au-delà. Le sphinx est donc le gardien des portes de l'au-delà. Et le lien avec Nergal peut être fait. D'accord, c'est une supposition et rien de plus, mais elle est intéressante. Ce qui serait bien plus intéressant encore, ce serait de remonter aux origines des mythologies. Si elles se transmettent de civilisation en civilisation, il existe peut-être un point de départ d'où proviennent ces dieux et héros mythiques, ou plus probablement plusieurs points de départ. Quels sont ces points de départ ? Des créations de l'imagination humaine ? Des personnifications d'éléments naturels, montagnes, foudre, océan ? Ou alors les histoires de personnages réels enjolivées et déformées par le temps ? Ou bien encore, et c'est l'hypothèse la plus séduisante, un petit peu de tout ça ?
Vous allez me dire : mais vous régressez dans vos vies antérieures, allez donc voir dans vos incarnations à cette époque ce qu'il en est vraiment ! Et oui bien sûr, mais ce n'est pas si simple. Il faut déjà que j'aie réellement eu une incarnation à l'époque et à l'endroit souhaité, ce qui n'est pas certain du tout. Et on ne choisit pas vraiment ce qu'on retrouve en régression. Donc c'est au petit bonheur la chance, je n'aurai pas forcément les informations qui m'intéressent. Mais je vais continuer mes explorations, et qui sait, peut-être un jour aurai-je un indice qui viendra éclairer nos lanternes ?
 

3 commentaires:

  1. Bonjour Guillaume, pourquoi es-tu persuadé que la ville en question soit Babylone? Il y avait bien d'autres villes dans la région à l'époque.
    Je m'interroge aussi sur l'origine des mythologies, car toutes se sont interpénétrées, dieux et déesses sont pour la plupart les mêmes avec d'autres noms et quelquefois des fonctions plus ou moins différentes selon les régions et les cultures dans lesquelles on les vénère. La première religion du monde est celle de la Déesse Mère depuis le néolithique et même avant, puis d'autres dieux sont arrivés, d'après les légendes, du ciel...
    Bonne soirée.

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    1. C'est le nom de Sémiramis qui m'est venu dès la première régression dans cette vie qui fait que j'ai associé cette ville à Babylone. Je n'ai pas eu de preuve contraire jusque-là. Mais il n'est pas impossible effectivement que ce soit une autre cité. Si j'ai d'autres infos qui vont dans ce sens je corrigerai mes données, mais pour le moment je reste sur mon idée première.

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  2. Bonjour Guillaume, et merci de ta visite. J’ai un peu abandonné mon blog depuis quelque temps, suite à un deuil que je ne parviens pas à accepter.
    Je serais heureuse que cet article sur Sémiramis puisse t’aider. Comme je te l’avais dit on ne pense qu’à Babylone, la plus connue, mais il y avait bien d’autres villes à l’époque.
    Bonnes recherches et à bientôt.

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