Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

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2- le trappeur, et ma découverte de la réincarnation


A vingt ans, pour moi la réincarnation ce n'était rien de plus qu'un folklore indien ou tibétain. Je n'avais aucune conviction religieuse et j'étais même plutôt athée. Ce n'est pas que je ne me posais pas de questions bien sûr. Comme tout le monde je m'interrogeais sur le sens de la vie. On se demande tous un peu pourquoi on est là, non ? Et comme tout le monde, ou presque, je n'avais pas de réponse. Or j'étais à l'université à l'époque, et je n'avais ni le temps ni le courage de courir après ces réponses. La société nous pressait de trouver un boulot, de fonder une famille, et de faire comme tous les autres. On y arrive plus ou moins, et pour moi c'était plutôt moins que plus. Combien de fois je me suis demandé ce que je foutais sur cette Terre ?

Le changement a commencé quand j'ai eu entre les mains un livre de Patrick Drouot qui parlait de réincarnation. Je ne sais pas pourquoi j'ai lu ça, ce n'était pas mon type de lecture. C'est sans doute parce que ma mère me l'avait prêté (on ne dit pas non à sa mère, n'est-ce-pas ?). Habituellement je lisais plutôt du fantastique ou de la science-fiction. Vue sous cet angle, cette histoire de réincarnation était plutôt sympa. Mais voilà, je me suis laissé prendre au jeu. Car Patrick Drouot avait une manière quasi scientifique d'expliquer les choses, et ça me parlait. Il expérimentait et envisageait les diverses possibilités sans imposer quoi que ce soit. J'aimais ça. Je n'ai jamais été enclin à croire ce qu'on nous impose sans explication, et c'est sûrement pour ça que je n'ai jamais adhéré à la religion. Là, le type exposait les faits tout simplement, et il y avait une explication théorique qui tenait sérieusement la route. A la fin de ce bouquin, j'étais « sur le cul », comme on dit. Je tenais enfin une théorie spiritualiste qui ressemblait à quelque chose de cohérent. C'était bien beau, mais je n'étais pas encore tout à fait convaincu. Parce que si je m'arrêtais là, ça ne serait rien de plus qu'une croyance comme une autre. Par chance, dans son livre Drouot exposait sa méthode pour faire régresser ses patients dans leurs vies antérieures, comme il disait. Et j'avais l'impression qu'il pouvait être possible de pratiquer sur soi-même cette « régression », sorte de technique de méditation ou d'auto-hypnose. Mais je me foutais bien du nom, ce qui m'intéressait c'était le résultat.

A l'époque je logeais seul dans un petit appartement, et j'avais commencé à travailler avec des horaires de bureau tranquilles. Je crois que ce livre m'était tombé entre les mains au bon moment. Les conditions étaient réunies pour que je réussisse mon expérience. Il fallait avoir un petit coin tranquille, un cocon à soi, et du temps à disposition. J'avais tout ça.
Une chose importante avant de se lancer dans une régression, c'est qu'il faut choisir un élément de concentration, quelque chose qui peut avoir un lien avec une vie antérieure. Ca peut être un être cher (votre mamie adorée, un ami qui est comme un frère), une passion inexplicable (Vous adorez les chapeaux de cow-boy depuis tout petit ? Vous rêvez de visiter le Zimbabwe depuis toujours? ), un trait physique ou moral particulier (Vous avez peur de l'eau sans savoir pourquoi ? Vous avez une tâche de naissance en forme de cloche?), etc. Je reviendrai plus tard sur ces liens entre passé et présent. En tout cas, le choix de cet élément est important. Il va permettre au moteur de recherche de votre conscience de se focaliser sur une donnée sans se perdre dans un magma d'informations. Par commodité, j'appelle cet élément le focus. Sans ce focus, la tentative de régression risque de ramener un mélange d'images chaotique. J'avais des éléments de ma vie que je brûlais d'envie de prendre tout de suite comme focus, des choses très importantes pour moi. Mais j'avais peur de fausser tout le processus si je prenais d'emblée un truc trop fort émotionnellement. Je pourrais les tester plus tard si le premier essai était concluant. Je préférais choisir quelque chose de moindre importance pour un début. Or depuis longtemps j'avais une passion pour les loups. J'ignorais pourquoi, mais cet animal me fascinait plus que tout autre. Je m'en sentais proche. Cette passion serait mon focus pour ma première tentative de voyage dans le passé, c'était décidé.

Prêt pour l'expérience, allongé sur mon lit et volets à demi-fermés (la pénombre aide à se détacher du présent), je commençai le travail de méditation. Je ne vais pas détailler maintenant tout le processus de régression, j'y reviendrai plus tard. D'après P. Drouot, il y avait peu de chances que le premier essai donne un résultat spectaculaire. L'exercice devait devenir plus facile avec la pratique. Je ne m'attendais donc pas à quelque chose d'extraordinaire du premier coup. Lorsque la phase de méditation arrivait à son point crucial, il fallait traverser mentalement le « tunnel du temps », passage spirituel qui devait m'amener dans le passé. Je gardais à l'esprit mon focus, l'image d'un loup, et je m'engouffrai dans le tunnel à toute vitesse.

A la sortie du tunnel, tout devint calme autour de moi. Au tout début je ne vis rien. Les sensations arrivaient petit à petit, comme si toute une scène se construisait brique après brique. Je vis d'abord mes mains, burinées et couvertes de poils blonds, puis mon corps, que je ressentis grand et costaud. J'avais de longs cheveux en bataille et une barbe blonde, et je portais des vêtements de cuir, et une carabine. Autour de moi des arbres apparurent, c'était une grande forêt sous la chaleur de l'été. A côté de moi j'aperçus une forme se déplacer, comme un chien. Mais non, ce n'était pas un chien ! C'était un loup bien sûr, ou plutôt une louve. C'était une femelle, l'information me vint à l'esprit comme ça, tout naturellement. Je m'agenouillai et me mit à caresser le pelage gris de l'animal. Elle était apprivoisée et se laissa faire. J'étais son maître.
La scène changea d'un coup pour faire apparaître l'endroit où j'habitais. C'était une maison de bois toute simple, une sorte de cabane de chasse en haut d'une colline boisée. Je savais qu'une rivière coulait à peu de distance, et qu'un bourg se trouvait plus loin, à quelques heures ou jours de marche. J'étais au Canada, j'en étais sûr, et plus particulièrement au Québec, à l'embouchure du St Laurent. Un nom se fit entendre dans ma tête, mais je le percevais mal, comme si quelqu'un le prononçait avec une patate chaude dans la bouche. Ca se terminait par quelque chose comme « -amis ». Ce qui était sûr, c'est que j'étais un trappeur. Je chassais les animaux pour revendre leurs peaux en ville. Et dans ce boulot j'avais à mes côtés ma louve et ma fidèle carabine Winchester 30/30.
Le temps avança encore d'un coup. Je me retrouvai dans la même forêt mais couverte de neige cette fois, dans le froid de l'hiver canadien. Je marchai dans l'épaisse couche blanche, couvert de cuir et de fourrures, suivi de ma louve. Tout à coup quelque chose attira mon regard : une main humaine sortait de la neige. Je m'approchai, je creusai autour et je finis par dégager le corps d'un homme brun et barbu. Il respirait encore, vivant mais inconscient. Il fallait que je le transporte pour le faire soigner. Dans cet environnement hostile, ce n'était pas une mince affaire ! Je le portais comme je pouvais, mais je me mettais en danger moi-même en voulant l'aider. Pourtant je ne pouvais pas le laisser là. Et crac ! Ce qui devait arriver arriva. Brusquement la neige s'affaissa sous mes pas, et je m'effondrai avec mon chargement pour glisser le long d'une pente raide. Dans une avalanche de neige et de roche, je m'écrasai comme une merde sur un sol de galets, au bord de la rivière. J'avais dû me blesser dans la chute parce que je n'arrivais plus à bouger. J'étais encore conscient et je tentai d'appeler à l'aide, en vain. Il n'y avait pas âme qui vive à des kilomètres. Mon agonie dura de longues heures. Heureusement (ou pas ?), je ne vis pas ma fin car je sortis alors doucement de ma méditation.


Je restai un moment à reprendre mes esprits, perplexe. L'expérience était différente de ce à quoi je m'attendais. J'avais l'impression de ne pas être vraiment « parti », d'être toujours resté conscient du présent en même temps que je voyais le passé. Et pourtant ça avait été très intense. Avant de commencer je m'imaginais que j'allais voir des choses hors du commun, des images défiler devant mes yeux comme par magie. Et ce n'est rien de tout ça ! C'est beaucoup plus simple, ce qu'on voit ressemble complètement à un souvenir comme un autre. C'est peut-être pour ça que la plupart des gens s'imaginent ne pas pouvoir faire ce type d'expérience. Ils croient que ce sont des sensations extraordinaires, alors qu'il faut juste se mettre à l'écoute de son moi profond. Pas besoin d'être medium, ni d'avoir de don particulier pour ça, c'est accessible à tous. Pour expliquer ce que j'ai vu, la meilleure comparaison serait celle d'un rêve. Ca ressemblait à un rêve éveillé. Un rêve peut être évanescent comme il peut être intense et très vivant. La régression dans une vie antérieure, c'est pareil.
Sur le coup j'étais surpris. Je n'avais pas espéré voir tant de choses du premier coup, et je me demandais si c'était bien réel, si j'avais vraiment revu une de mes vies passées. Un nom me vint à l'esprit pour ce trappeur : « Joe ». Je ne sais pas si c'était vraiment son nom, mais ça lui allait bien. L'expérience était de toute évidence un succès, et malgré tout je n'étais pas complètement satisfait. J'avais encore des doutes. Cet homme des bois avait-il réellement existé ? Ou était-il juste sorti de mon imagination ? Il fallait que je vérifie. Les informations précises que j'avais c'est qu'il vivait au Québec à l'embouchure du St Laurent. A quelle époque ? L'homme était blanc et maniait la carabine, carabine pour laquelle j'avais nettement perçu un nom : Winchester 30/30. Ce détail me laissait sur le cul. Je n'avais aucune connaissance des armes à feu. J'aurais peut-être pu entendre ce nom dans un western ? C'était possible, et mon cerveau aurait enregistré l'information. Mais l'indice restait valable quand même. Je fis des recherches, et je découvris que la 30/30 Winchester est le calibre d'une munition apparue à la fin du 19e siècle. Et la première carabine compatible avec ces munitions est la Winchester modèle 94, créée comme son nom l'indique en 1894. Ce que j'avais vu de Joe le trappeur ne pouvait donc se situer qu'après cette date.
L'autre indice intéressant était le nom que j'avais entendu « ...amis », qui pouvait correspondre à un lieu de l'époque. Je suis allé faire des recherches dans une grande librairie parisienne, la F...C pour ne pas la citer. Je passais des heures à consulter un tas de livres, je n'avais pas internet en ce temps-là (ça ne me rajeunit pas!). Et j'ai trouvé une bourgade sur la rive nord du St Laurent dont le nom est Betsiamites. Une autre petite ville du secteur s'appelle Rivière-du-Loup. Ca ne prouvait rien bien sûr, mais quelles coïncidences ! Aujourd'hui en écrivant cet article, j'ai enfin internet (!) et je peux compléter mes recherches en gagnant un temps fou. Il s'avère que Betsiamites est une réserve autochtone à l'embouchure de la rivière du même nom. En 2009 Betsiamistes a changé de nom pour Pessamit, et l'ancien nom de la rivière est Bersimis. Les autochtones qui habitent ces lieux sont les innus ou montagnais. Tous ces noms me parlent étrangement, c'est dingue ! Joe n'était pas autochtone, c'est-à-dire indien d'origine, j'en suis presque sûr. Mais il était sûrement en contact avec eux. D'ailleurs j'ai trouvé quelques phrases de la langue innu sur le net et j'ai trouvé que ça m'évoquait quelque chose. Le trappeur avait très bien pu maîtriser cette langue pour communiquer avec ses voisins.
A l'inverse, le nom de Rivière-du-Loup est une drôle de coïncidence mais ça ne me parle pas plus que ça. Sûrement une fausse piste. Aujourd'hui je commence à me familiariser avec ces sensations de déjà-vu, et j'arrive plus ou moins à les reconnaître. J'ai donc retrouvé l'époque et sans doute le lieu de vie du trappeur. Mais le nom «...amis » a sûrement aussi une autre signification. J'y reviendrai dans un prochain article car c'est lié à une autre vie.

En tout cas, cette vie de trappeur semblait plausible. Ces premières visions me donnèrent envie de continuer l'exploration de mes vies antérieures. C'est ce que j'ai fait et s'en sont suivies beaucoup d'autres découvertes étonnantes. Je les raconterai dans les prochains articles. Je vais d'abord m'attarder sur Joe, car dans d'autres régressions j'ai revu d'autres souvenirs concernant cette vie. J'ai vu notamment des images de son enfance dans une famille nombreuse plutôt pauvre. Ils vivaient dans une chaumière, on se serait cru dans du Zola. Puis j'ai vu des personnes qu'il avait côtoyées dans sa vie d'adulte, notamment un gars qui a partagé sa cabane de chasse. C'était un homme grand et barbu, brun, peut-être un frère ou en tout cas quelqu'un de proche. Il y avait aussi un vieux chercheur d'or qui creusait seul dans les parois rocheuses des alentours, un homme aux cheveux gris courts et aux petites lunettes rondes. Nous avions des relations amicales de voisinage.
Ces deux personnes sont sûrement des gens que j'ai retrouvé dans ma vie d'aujourd'hui, mon petit frère disparu pour le premier, et un ami très proche pour le second. Il arrive souvent qu'on retrouve des personnes proches de vie en vie, et j'y ferai souvent référence. Mais j'y reviendrai plus tard, ce sera aussi le sujet d'un prochain article.

Mais avant d'aller plus loin, je voudrais expliquer un peu le principe de réincarnation. Il y a beaucoup de fausses idées là-dessus. L'idée de réincarnation, ou métempsycose, ou transmigration des âmes, a de multiples facettes, notamment dans l'hindouisme et le bouddhisme. Mais quelles que soient ses variantes, cette philosophie va apparemment à l'encontre des fondements de notre culture occidentale. C'est complètement faux ! En fait la croyance en la réincarnation a disparu en occident avec l'expansion du christianisme. Mais auparavant les celtes y croyaient déjà, et même Platon parlait de réincarnation. C'était une idée assez répandue avant l'ère chrétienne. Ma vision de la réincarnation est celle de Patrick Drouot, qui est en gros celle qui se répand sans bruit dans notre civilisation depuis le 19e siècle. Je m'explique. Joe le trappeur a vécu bien avant ma naissance, alors comment je peux affirmer que nous sommes une seule et même personne ? Physiquement il ne me ressemblait pas, et d'un point de vue purement organique nous étions bien deux corps différents. Ce qui nous lie alors va au-delà du corps physique. C'est ce qu'on peut appeler la conscience ou l'âme, qui est le siège de la personnalité, du moi profond, des souvenirs, en bref tout ce qui constitue un être conscient à part entière. Le corps physique, lui, n'est qu'une sorte de véhicule pour se mouvoir dans le monde matériel. Il est périssable, alors que la conscience est immortelle. Cette âme s'incarne à la naissance dans un corps humain puis elle le quitte à sa mort. Jusque-là on retrouve le concept d'âme commun à de nombreuses religions. Sauf que pour se réincarner, l'âme ne va pas se rendre dans un quelconque paradis pour l'éternité. Elle retourne bien dans une sorte d'au-delà, mais après un temps plus ou moins long, quelques mois ou années, elle va choisir un nouveau corps pour vivre une nouvelle vie. Elle s'incarne alors dans un fœtus ou un nouveau-né et rebelote. Voilà, la réincarnation est un cycle de naissance-vie-mort-renaissance et ainsi de suite. Bon, tout ça est expliqué très simplement de façon schématique, je suis d'accord. On n'explique pas tous les mystères de l'âme en quelques lignes, ce serait un peu facile. Je vais approfondir les choses dans les prochains articles, et aborder des points précis du principe de réincarnation en m'appuyant sur des exemples concrets, mes propres souvenirs de vies passées récoltés au cours de dizaines de régressions.

Après ce que je venais de retrouver de ma vie de trappeur au Québec, j'étais à peu près certain qu'il y avait là une vérité, et qu'il fallait pousser mes explorations plus loin. Je voulais en découvrir plus sur mon passé lointain.


3 commentaires:

  1. Magnifique retranscription. Tu écris très bien c est un plaisir de te lire.
    La visualisation paraît simple et claire avec toi, ce qui n est pas le cas pour moi. Je suppose qu' il faut un peu de temps. Ma pratique est encore ressente.
    Lorsque tu dit j entends pour la carabine ou un lieu. On te parle dans ta tête lu je sais tout simplement?

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    1. Lorsque je dis j'entends ça peut être un peu les deux. A la fois les mots apparaissent dans mon esprit comme un souvenir sonore, et parfois ça peut être une idée qui surgit et qui s'impose à moi comme si je l'avais toujours su.

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    2. d'accord, je comprends. Personnellement , je n'entends rien. Par contre j'ai ces certitudes qui s'imposent à moi et qui me font des fourmis dans la nuque lorsque je suis dans la bonne direction.
      je dois avoir un radar incorporé :)

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