Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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6- l'artiste, et la progression à travers les vies



J'en viens finalement à parler d'une vie que j'avais retrouvée assez tôt dans mes régressions. Mais si je n'en ai pas parlé avant c'est parce que c'est une personnalité connue. Alors là j'entends déjà protester les sceptiques : « Ca y est, il va se prendre pour Napoléon ou Ramsès II ! » Ca fait cliché, c'est vrai. C'est pour ça que j'ai hésité à en parler tout de suite. Cela dit la personne dont je vais vous parler n'est pas aussi flamboyante que les deux que j'ai cités. Mais je suis persuadé que si j'avais commencé par là j'aurais perdu beaucoup d'entre vous dès le début. Et puis, il paraît qu'au 21ème siècle chacun aura son quart d'heure de gloire. Alors imaginez sur plusieurs vies ! Je ne vois pas ce qui empêche d'avoir un peu de célébrité dans une de ses existences. Surtout qu'il y a pas mal de fantasmes sur les gens connus, après tout ce sont des êtres humains comme les autres. Allez, si vous m'avez suivi jusque-là, s'il-vous-plaît laissez de côté les préjugés et lisez la suite pour vous faire votre propre idée.
Commençons par le début. Depuis tout petit je dessine, j'ai cette passion depuis aussi loin que je me souvienne. Certains disent même que j'avais un don, je préfère dire que c'est une passion que j'ai travaillée. Dès l'école maternelle j'étais au-dessus du lot, et jusqu'au collège je survolais les cours d'arts plastiques. Parallèlement je suis tombé amoureux de la bande dessinée. Je lisais beaucoup, et l'envie me vint d'écrire aussi. J'ai donc lié dessin et lecture pour raconter des histoires en image. Malheureusement je n'ai pas eu la possibilité de faire des études artistiques, et alors que j'étais étudiant j'ai manqué le coche pour faire de la BD mon métier. Ce n'est que quinze ans plus tard, après des détours professionnels, que la passion m'a rattrapé. Aujourd'hui je suis pro dans la BD et l'illustration. J'ai déjà plusieurs albums à mon actif et ce n'est pas fini.
Mais quand j'ai commencé mes régressions je n'en étais pas encore là. J'étais en plein doute sur quoi faire de mon avenir. J'avais vu mes premiers souvenirs de vies antérieures et ma conviction était déjà forgée. Il était temps de tenter une régression pour chercher d'où venait cette aptitude précoce au dessin, parce qu'il était probable que ça vienne d'une vie antérieure. J'étais à la fois excité et anxieux, un peu la peur du vide et dans l'attente de réponses.

Voilà donc que je me plonge de nouveau dans le tunnel du temps. Quand j'en sors, mon environnement se construit lentement comme d'habitude. Je suis un jeune homme, bien habillé dans une tenue cintrée style 18ème ou 19ème siècle. Je parcours tranquillement un grand couloir aux couleurs sombres avec de grandes fenêtres, comme une galerie de château. A intervalles réguliers sont suspendus des tableaux. J'ai l'impression que je suis ici pour le travail. Je ne sais pas exactement ce que je fais, mais je m'arrête pour admirer chaque tableau. Je suis intéressé par le travail des maîtres. Je dois être peintre moi aussi, car le décor change tout à coup et je me retrouve moi-même face à une grande toile à laquelle j'apporte les dernières touches. Le tableau est presque aussi haut que moi, posé sur un chevalet. Je travaille debout, ma blouse maculée de peinture. Je suis dans une pièce claire, la lumière du jour entre largement par une grande fenêtre ouverte face à moi. J'ai vue sur un jardin ouvert sur l'extérieur, entouré de quelques grands arbres qui apportent un peu d'ombre. L'atelier où je suis est à l'étage d'une grande maison aux murs clairs, avec une grande porte principale au milieu de la façade. Dans le jardin une balançoire est dans ma ligne de mire, et une jeune femme s'y balance joyeusement. Elle porte une robe claire, très serrée à la taille, avec une grande jupe et d'épais jupons, typique du 19ème siècle. Elle est très proche de moi, je le sens. Je reviens à mon tableau. Il est quasiment terminé, je n'ai plus qu'à poser la touche finale. J'approche mon pinceau du coin de la toile, en bas à droite. Et je signe en petites lettres : « Corot », tout simplement. Je sais alors qui je suis. Je m'appelle Jean-Baptiste Corot.



C'est la fin de cette régression qui était assez courte mais très claire. La signature à la fin résumait tout, mais bizarrement je n'étais pas super enthousiaste. Il faut dire qu'à cette époque, en dehors de la BD mes connaissances artistiques étaient assez limitées. Je savais vaguement que Corot était un peintre, mais je ne connaissais rien de lui ou de son œuvre. Mais son nom était suffisamment connu pour que même moi j'en aie entendu parler, et ça c'était déjà impressionnant à mes yeux. Ce que j'allais découvrir l'était encore plus.
Car bien sûr je voulais me documenter sur cet artiste, sur sa vie. Avant cette régression j'avais peu d'éléments convaincants. J'avais quelques informations sur le trappeur et sur le lord anglais, mais pas encore tout ce que j'ai trouvé sur Sir Hoghton via internet. Du coup j'étais excité parce que sur un personnage connu comme Corot, j'allais forcément trouver des éléments de comparaison avec ce que j'avais vu. Je ne vais pas ici raconter toute sa vie, il y a déjà des livres entiers sur le sujet. Je vais juste préciser ce qui est en relation avec mes souvenirs de cette vie passée.
D'abord Corot a deux prénoms : Jean-Baptiste et Camille. Selon les biographies l'un ou l'autre sont mis en avant. Et il semble qu'au 19e siècle on utilisait plus facilement les deuxième et troisième prénoms qu'aujourd'hui. Or dans mes souvenirs j'ai plutôt eu la sensation de m'appeler Jean-Baptiste, peut-être une préférence de l'artiste lui-même, et c'est donc le prénom que je vais utiliser.
Donc Jean-Baptiste Corot est né en 1796 et mort en 1875 à Paris. Ces dates m'ont été utiles car c'est grâce à ça que j'ai déterminé plus tard que Sir Hoghton avait forcément vécu avant 1796. Je ne crois pas avoir eu deux incarnations simultanées.
Et bien sûr j'ai découvert l'influence de Corot dans la peinture, pendant sa vie et même après. Il est considéré aujourd'hui comme un père des impressionnistes, grand paysagiste mais aussi portraitiste. Depuis j'ai vu beaucoup de ses tableaux, reproduits sur des livres ou sur internet, mais j'ai aussi eu l'occasion de voir des originaux dans des musées. Je n'oserais pas dire s'il y a quelque chose qui nous rapproche artistiquement, je ne serai pas très objectif sur la question c'est évident ! Ce que je sais, c'est que ses toiles me parlent, surtout ces tableaux ébauchés, inachevés, qui ont fait dire qu'il avait inventé l'impressionnisme. En fait ces tableaux n'étaient que des études qui servaient plus tard à réaliser des toiles plus détaillées et réalistes. Mais elles montrent bien la façon de travailler du peintre, et je me retrouve dans ce qu'il faisait.
Je ne vais pas m'attarder sur l'oeuvre de Corot, je vais plutôt en venir à sa vie privée. Il a beaucoup voyagé et vécu à droite à gauche par petites périodes, en Normandie et dans le nord notamment. Mais ses lieux de vie étaient principalement ses ateliers à Paris, et surtout la demeure familiale à Ville d'Avray, entre Paris et Versailles, dans un coin de verdure au bord des étangs. C'est là qu'il a commencé à exercer ses talents de peintre, dans cette maison achetée par son père en 1817, et il y est toujours revenu. Quand j'ai vu la première fois une photo en noir et blanc de cette maison, j'ai eu un coup au cœur. Elle était exactement comme je l'avais vue, avec un étage, des murs clairs, la grande porte, et le jardin qui lui faisait face. C'était incroyable ! J'habitais Paris alors, Ville d'Avray n'était pas loin, il fallait absolument que je me rende sur place pour voir ça de mes propres yeux. Un samedi je suis donc parti en transports en commun. Il fallait marcher en grimpant des côtes assez raides pour accéder aux étangs, et finalement j'y parvins. Les étangs de Ville d'Avray sont un havre de paix à deux pas de Paris, un coin de nature paisible qu'on ne s'imagine pas trouver si près de la capitale. J'admirais le paysage que Corot avait peint si souvent, et je trouvai facilement sa maison qui était juste sur la gauche de l'étang alors que j'arrivais en marchant. Malheureusement je ne pouvais voir que le haut de la grande demeure car un grand mur isolait la propriété, la séparant des étangs. Et sur le coup je me suis écrié : « Mais il y avait pas de mur avant ! ». Il n'y avait que quelques pas à faire de la maison jusqu'à l'étang, et j'étais sûr qu'avant on pouvait passer à pied sans avoir de mur à franchir. Et pendant que j'écris ce texte je regarde des tableaux de Ville d'Avray peints par Corot. Grâce à internet je découvre aujourd'hui plein de tableaux que je n'avais pas encore vus (Corot en a peint beaucoup). Et sur l'un d'eux il a justement représenté sa maison vue d'une autre rive de l'étang. Et il n'y a pas ce mur !
Dans ce que j'ai vu de l'atelier avec vue sur le jardin, j'étais encore jeune peintre, et une femme, toute jeune elle aussi, faisait de la balançoire dans le jardin. Etait-elle une proche ? Certainement. Une fiancée ? Je ne crois pas, il semble que Corot n'aie jamais été fiancé, et encore moins marié, et qu'il n'eut apparemment aucun enfant. Il a peut-être eu des maîtresses, sûrement même, car il a peint quelques nus notamment en Italie. Mais ça ne correspondait pas à cette jeune femme. Peut-être de la famille alors ? Jean-Baptiste avait deux sœurs, Annette Octavie qui avait trois ans de plus que lui, et Victoire Anne juste un an de moins que lui. Cette dernière mourra en 1821 à seulement 24 ans. Je pense que c'était elle sur la balançoire.
J'en viens maintenant à la scène que j'ai vue au début, dans la galerie de tableaux. Je me demandais à quoi ça correspondait. J'avais lu que le jeune Jean-Baptiste avait travaillé un temps comme commis coursier chez des drapiers. J'imaginais que ça pouvait être lié à ça, sans conviction. Il aurait pu admirer les tableaux d'un client. Mais en fait ce n'était pas ça. J'ai appris récemment en lisant une autre biographie que Corot fréquentait le Louvre dans sa jeunesse. Ca m'a surpris, parce que je ne pensais pas que le Louvre était déjà un musée au début du 19e siècle. Or c'est bien le cas. Il s'avère que dès le règne de Louis XVI le Louvre était déjà utilisé comme galerie d'art, et qu'en 1793 il devint officiellement un musée. C'était exactement ça ! Le large couloir aux grandes fenêtres que j'ai décrit correspond parfaitement à certaines galeries du Louvre. Ca paraît tellement évident, je me demande pourquoi je n'y avais pas pensé avant. Corot arpentait les couloirs du Louvre pour travailler, bien sûr, il apprenait la peinture !

Je voulais associer le récit de ces souvenirs de Corot avec le thème de l'accomplissement personnel et de l'évolution à travers les vies. Au début je ne pensais parler que du peintre, mais je me rends compte que si je veux parler d'évolution il vaut mieux évoquer aussi une autre vie. Car j'ai effectué une autre régression où il est aussi question de création artistique. Elle est assez courte.

Quand je sors du tunnel temporel, je suis dehors sous un beau ciel bleu. Je suis un jeune homme peu vêtu, à peine un tissu enroulé autour des hanches. Les bâtiments de pierre claire autour de moi m'évoquent une ville antique. Je suis face à une grande statue de marbre blanc, une belle sculpture réaliste qui me fait penser à la Grèce. Je tiens un long bâton au bout duquel j'ai enroulé un linge humide. Je le lève et le fait glisser sur le marbre de la statue. Je suis là pour la laver, ainsi que les autres statues qui entourent la place. C'est mon travail, et j'y passerai plusieurs heures sous le soleil.
Un peu plus tard, je vois une autre scène : dans la pénombre d'une pièce fermée, seul, je travaille sur mon ouvrage. Cette fois c'est moi l'artiste, je m'essaie à la sculpture et je travaille la terre glaise. Fasciné par les œuvres que je côtoie tous les jours, j'aimerais faire d'aussi belles choses. Malheureusement je n'ai pas le même talent, et je m'énerve sur mes tentatives ratées.

La régression s'arrêta là, en me laissant peu d'informations sur cette vie. Impossible de la dater ou de la situer précisément, tout ce que j'ai trouvé c'est que le marbre blanc se nettoie effectivement tout simplement avec de l'eau et du savon, ou éventuellement à la cire. Ca n'apporte pas grand chose. Par contre il est intéressant de mettre en relation cette vie avec celle de Corot. Ce sculpteur en herbe n'est sûrement pas devenu un maître en son art mais il a dû continuer et progresser. Or Jean-Baptiste Corot avait des aptitudes précoces, lui. Ses toiles les plus anciennes montrent déjà une certaine maîtrise. On voit qu'entre l'Antiquité et le 19e siècle, l'âme qui a habité ces deux corps a fait des progrès évidents. Ca montre de manière certaine qu'on progresse de vie en vie et que ce que l'on apprend n'est pas perdu. Tout est stocké dans notre mémoire inconsciente et ne demande qu'à être réveillé. En étudiant l'art des maîtres de son époque, le jeune sculpteur a enrichi son inconscient des connaissances artistiques de base. Le jeune Corot, en s'intéressant à son tour aux maîtres de son temps et en décidant de s'engager dans la création artistique, a dû réveiller ces connaissances enfouies. Il a repris son apprentissage là où s'était arrêté le sculpteur grec. Il a pu commencer avec un certain bagage qui le plaçait d'emblée à un niveau supérieur du commun de ses contemporains. C'est de cette manière que je conçois la progression à travers les vies. Toutes nos aptitudes du passé ne se réveillent pas à chaque vie sinon nous serions tous des super-héros. Il faut un événement déclencheur ou un intérêt très fort qui vienne réactiver ces connaissances. C'est pour ça que le sculpteur grec n'a pas toujours été artiste dans les vies suivantes. Ce n'est qu'au 19e siècle que la passion de Corot pour la peinture a réveillé cette fibre artistique. Et aujourd'hui les acquis de ces deux artistes sont parvenus jusqu'à moi. Ca explique pourquoi depuis tout petit j'avais des aptitudes en dessin bien supérieures à la moyenne. C'est une explication toute personnelle bien sûr, mais elle me semble tellement logique.
Cette possibilité de progression à travers les vies peut expliquer toute aptitude artistique précoce. Il y a des exemples évidents, comme Mozart qui composait ses premières œuvres à 6 ans, ou Michael Jackson qui chantait et dansait dès 6 ans lui aussi. Comment expliquer que si jeunes ils avaient des compétences que d'autres mettent des années à acquérir, si ce n'est par des acquis venus de vies antérieures ? D'ailleurs il n'y a pas de raison que cette possibilité de progression se limite aux arts. C'est l'exemple que j'ai mis en évidence avec la vie de Corot, mais on progresse de la même façon dans tous les domaines. Pensez aux génies scientifiques précoces par exemple, ou même à des aptitudes plus physiques, l'équitation, la course, etc. Même des aptitudes plus courantes peuvent être concernées : facilité à parler en public, sens de l'organisation par exemple. Tenez, pensez à Napoléon Bonaparte. Même si le personnage est controversé, on ne peut que lui reconnaître un génie militaire. Comment ce « petit caporal » a-t-il pu conquérir l'Europe en quelques années seulement ? Avait-il déjà acquis une expérience des batailles dans d'autres vies ?
Intéressant mais il y a un mais. Car je crois qu'on ne peut pas résumer l'évolution d'une âme à l'accumulation d'aptitudes perfectionnées au fil des vies. A quoi ça servirait de savoir tout faire si on ne sait pas quoi en faire ? Ca ne peut pas se limiter à ça. Il doit y avoir un but à cette évolution, et elle ne peut être que morale et spirituelle. Et là vient alors la question existentielle : vers quoi doit-on évoluer ? Ca pose la question du pourquoi de la réincarnation, et on peut parler d'éveil spirituel, du nirvana, et par extension de Dieu et de la Création... tout un programme ! Pour ceux qui aiment se triturer le cerveau comme moi, je garde ce thème de la spiritualité pour un prochain article.

3 commentaires:

  1. Ha ! Les personnages célèbres. Bien sûr. Ca fait toujours sourire évidemment.
    Mais je rappelle l adage on a tous été roi ou pendu. Ce qui veut dire qu' au cours de nos vies on peut être célèbre ou inconnu independement tout dépend de la leçon à apprendre. Maintenant Napoléon et Cléopâtre ont existés donc il y a bien quelqu' un aujourd hui qui était de leur corps.
    J ai été une novice druidesse, une reine égyptienne et Anne Séville épouse de Richard III entre autre.
    Les images de nos vies extérieures ne sont pas manipulables car on a juste accès par une porte dérobée de notre inconscient à Nos vies passées elles ont existé on ne peut que voir ce qu' il s est passé.
    On ne peut pas tricher . Et puis ça servirai à quoi. Être capable de voir ses vies intérieures et mentir sur ce qu' elles ont été? C est incoherent avec la démarche.
    Et ça ne sert à rien . C est incursions dans notre passé servent à nous analyser en ce monde pour évoluer encore plus. Le mensonge nous ferait régresser.

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  2. Les réminiscences du passé comme les dons.
    Musique. Dessin. Sculpture. Peinture. Je suis comme toi dans ce cas. Depuis mes 8 ans j e dessine et très bien. J ai toujours été dans les meilleure. Je n en ai pas fait mon métier mais je travaille mon don. Je prends des cours depuis 9 ans maintenant.
    D ou me vient cette aptitude ?
    D ou me vient mon obsession pour la joconde ?
    Et voilà. Les mots sont lâchés. Aurais je été peintre en Italie ?
    Je ne crois pas avoir été Leeonard de Vinci je vous rassure. Mais je pense avoir été un de ses élèves. C est le sujets de mes prochaines recherches et régressions donc je vais essayer de découvrir sui j étais pour retrouver ses oeuvres et les comparer avec mon travail d aujourd hui car pour toit dire je peins du réalisme à l huile et je prend des modèles très classiques. Nature morte. Icône religieuse. Ou paysage...
    J ai hâte de pouvoir voir ça.
    M ais, nos ames evoluent et si jen etais moins avancé dans mon travail qu autre fois ? Qu est ce que cela voudrait dire ?

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    1. Pas besoin de comparer forcément son travail artistique d'aujourd'hui à celui d'une vie antérieure. On ne revit pas pour faire tout à fait les mêmes choses. On explore des chemins différents, on évolue.
      Je suivrai tes recherches sur le forum minuit: http://minuit.forum-actif.net ;)

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