Ni medium ni gourou, je suis un être humain comme les autres qui se posait des questions sur le pourquoi du comment. J'ai été séduit par la théorie de la réincarnation, mais comme je ne crois que ce que je vois, j'ai décidé d'aller moi-même explorer mes vies antérieures, « pour voir ». Et ce que j'ai découvert m'a définitivement convaincu. Aujourd'hui je continue d'explorer mes vies antérieures, par des régressions comme on appelle ça, et je reconstitue petit à petit le parcours de mon âme à travers les âges. J'ai élargi mon champ d'intérêt à tout ce qui est en lien avec la réincarnation, principalement les domaines de l'esprit et de l'inexplicable, et aussi l'histoire et l'archéologie.

A travers ce blog j'espère apporter un peu de réponses à ceux qui en cherchent encore. Mais surtout ne me croyez pas sur parole, faites vous-même l'expérience ! Ma méthode de régression dans les vies passées est dispo pour tous: voir l'article 9- vos vies passées. Mais prenez le temps de lire les articles précédents avant toute chose. Il vaut mieux savoir de quoi il s'agit et être complètement informé avant de se lancer.

Vous pouvez lire les articles comme vous le souhaitez. Mais le mieux est quand même de les lire dans l'ordre chronologique, je les ai numérotés à cet effet. Aidez-vous du menu.

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4- le lord anglais, et la force émotionnelle


La vie antérieure dont je vais parler maintenant est un peu différente des précédentes. D'abord parce que j'ai plus d'informations la concernant. C'est dû au fait que je l'ai retrouvée dans plusieurs régressions, et surtout parce que j'en ai retrouvé des traces historiques par mes recherches sur le net. Là c'est passionnant ! Ensuite cette vie a fait ressurgir dans le présent des émotions plus fortes que n'importe quelle autre. C'est un détail peut-être, mais pour moi c'est essentiel, et cette force émotionnelle est le thème que je veux associer à cet article.

Je commence comme d'habitude par traverser le tunnel du temps, pour surgir enfin quelque part dans le passé. Mon environnement apparaît petit à petit. L'ambiance est calme et pesante. J'ai le regard baissé vers mes pieds, comme souvent au début d'une régression. Ca permet de voir son propre corps et de saisir un peu « qui » on est avant de voir « où » on est. Là, je suis chaussé de souliers brillants sur un tapis rouge, et je porte des vêtements cossus, signe d'une famille aisée. Je suis un homme encore jeune, avec des cheveux bruns assez courts descendant en favoris devant les oreilles, et rasé de près. Autour de moi c'est une grande pièce austère mais richement meublée. Face à moi c'est une grande table au bois épais et brillant, derrière laquelle est assise une vieille dame aux cheveux tirés en arrière, vêtue de noir et à l'air sévère. Pas très gai ! Mais c'est ma mère et je la respecte. Nous sommes en Angleterre dans une famille de haute lignée. Je suis peut-être un lord. J'entends un nom, étouffé comme d'habitude : Hindon ou Hondin. Dans le couloir d'à côté des petits pas se font entendre. C'est une fillette aux longs cheveux blonds qui déboule dans la pièce en courant. Son rire et sa gaieté tranchent dans l'austérité ambiante. Elle s'assoit à la table. Cette fille blonde est sans doute ma propre fille, comme je le verrai plus tard. Après coup un prénom me viendra, Jenny ou Jean (« Djinn » à l'anglaise bien sûr), mais je ne sais pas si c'est le bon.
Puis la scène change. Dans cette vie j'ai une personne très proche de moi, un ami d'enfance ou peut-être un frère. Nous passons beaucoup de temps ensemble à faire plein de choses. Je vois de l'escrime dans une salle d'entraînement, du cheval à travers la campagne, des parties de chasse dans le domaine familial. C'est d'ailleurs dans une de ces chasses qu'un accident survient. Je ne vois pas nettement toute la scène, juste mon ami qui tire au fusil et le bruit de la détonation. Tout est confus mais je suis blessé, c'est tout ce que je sais. C'est sûrement une maladresse et je n'en veux pas à mon ami.
Je ne sais pas clairement quelles ont été les conséquences de cet accident, mais ça n'a pas dû être trop grave car dans cette vie je vécus très vieux. Je me suis vu vieillard dans une autre régression. Enfin, je me suis « vu », c'est vite dit. Car en fait j'étais aveugle. C'était très étrange comme impression, car dans cette régression je ne voyais pas d'image mais je ressentais ce qui se passait autour de moi. J'étais assis dans un fauteuil au milieu d'une bibliothèque, un endroit qui m'appartenait, peut-être une pièce qui me servait de bureau. J'étais très âgé et amaigri. Puis dehors j'entendis une clameur, comme une émeute. Une foule était en marche. Tout à coup ces gens s'introduisirent chez moi, j'entendis des bruits de pas, des claquements de portes. Je craignais pour ma vie mais je n'avais pas la force de réagir. La régression s'arrêta là, mais j'ai eu l'impression de ne pas avoir survécu à cette émeute. L'époque et le décor m'ont fait faire le rapprochement avec le lord anglais. Et le fait que le vieil homme soit aveugle avait-il quelque chose à voir avec l'accident de chasse ? C'est possible, mais ce n'est peut-être aussi que la vieillesse.
Mais je vais revenir sur les années précédentes de Sir Hindon / Hondin, car j'ai vu d'autres choses à son sujet. J'ai vu par exemple une scène où je regardais un jeune peintre travailler sur un tableau. J'étais admiratif de son talent et il se peut que je l'aie aidé dans sa carrière. Je vais en reparler après.
Et je ne peux pas passer à côté d'une personne qui a une importance capitale, c'est la femme que j'aimais dans cette vie. Je n'ai même pas vu nettement son visage lors de la régression où elle m'est apparue. Nous étions en train de faire l'amour passionnément, tout en sueur. C'était torride ! Elle s'appelait Mary, et même si ce n'était pas forcément une très belle femme, je l'aimais terriblement. Je l'ai vue plus tard dans le temps, alors qu'elle allait mettre au monde notre enfant. Elle était allongée sur le dos, mais l'accouchement était difficile. J'étais anxieux. La sage-femme faisait ce qu'elle pouvait, et après une attente insupportable le nouveau-né arriva et c'était une fille. Mais la mauvaise nouvelle tomba comme un coup de poing : Mary n'avait pas survécu. Je fus anéanti d'un seul coup. Je hurlais ma douleur et l'émotion était d'une intensité incroyable. Je la vivais dans le présent comme si ça venait de m'arriver. La vision s'arrêta, et en ouvrant les yeux sur mon lit, dans ma chambre du 20e siècle, je pleurais en murmurant « Mary, Mary ». J'ai mis un long moment à revenir complètement dans le présent.


A l'époque où je faisais ces régressions j'avais peu de moyens de recherches à part les librairies et bibliothèques que je fréquentais. Il me fallait un peu de chance si je voulais trouver des informations sur ce Sir Hindon ou Hondin. Ce n'est pas pour moi que je cherchais à vérifier la réalité de ce que j'avais vu. La force émotionnelle de ce que j'avais revécu m'en avait persuadé mieux que n'importe quelle preuve matérielle. Mais c'était une conviction intime qui n'aurait peut-être pas beaucoup de valeur si j'en parlais à quelqu'un d'autre. De toute façon je n'étais pas décidé à en parler autour de moi, mais au cas où, ce serait pas mal d'avoir des preuves matérielles à mettre sous le nez des sceptiques. Ce que j'avais trouvé sur les autres vies jusque-là était intéressant mais pas assez convaincant.
Mais aujourd'hui je dispose d'un outil formidable que je n'avais pas à l'époque : internet. Je n'avais pas relancé mes recherches depuis des années et c'est seulement à la rédaction de ce blog que je l'ai fait. Et bingo ! J'ai trouvé.
J'explique comment je m'y suis pris. J'ai d'abord évalué l'époque de la vie de cet aristocrate anglais. Le contexte, les costumes, les fusils de chasse, tout ça m'évoquait le 18e ou 19e siècle. L'émeute que j'avais vu en fin de vie me faisait penser à la Révolution Française, donc plutôt 18e, mais surtout j'avais déjà retrouvé une vie qui se situait de façon certaine au 19e siècle. Donc l'anglais ne pouvait être que du 18e siècle. J'ai donc cherché des informations sur les lords anglais de 1700 à 1800. J'ai trouvé une liste complète des familles nobles anglaises classées par titres : les lords, les baronnets, et enfin les gentlemen, la chevalerie. Et chez les baronnets il y a une famille du Lancashire, les baronnets de Hoghton, qui au 18e siècle était juste appelée les baronnets Hoghton. Tous les noms de la dynastie sont listés, et il n'y en a que deux qui correspondent à la période définie : Sir Henry Hoghton 5ème du nom (1679-1768), et Sir Henry Hoghton 6ème du nom (1728-1795). En approfondissant mes recherches sur ces deux-là, j'ai trouvé un site internet sur l'histoire du parlement britannique qui détaille les biographies de tous les membres de cette institution depuis sa création. Et la biographie de Sir Henry Hoghton 5ème m'a révélé un indice crucial : sa première épouse s'appelait Mary, et elle est décédée après seulement 10 ans de mariage, à 33 ou 34 ans. Je venais de trouver ce que je cherchais ! Mais il y avait un détail qui clochait. La femme de Sir Henry Hoghton est décédée sans enfant, et lui-même n'a jamais eu d'enfant malgré deux autres mariages successifs. Et moi j'étais sûr que le bébé avait survécu et que c'était la petite fille blonde. Alors c'était quoi ? Une erreur des archives ? une fille illégitime ? En tout cas malgré ce détail, ce que j'avais trouvé était quand même intéressant. Et il y a au moins un autre indice qui me persuada que j'avais trouvé la bonne personne. Sir Hoghton le 5ème est né en 1679 (ou 1678 ou 1680 selon les sources) et mort en 1768. Il a donc vécu entre 88 et 90 ans, ce qui est très avancé pour l'époque. Ca correspond à la longue vie que j'avais vue. Par contre je n'ai pas trouvé la cause du décès, mais j'ai des indices concordants. En 1768 il y eut des émeutes à Preston, provoquée par une affaire politique d'élection contestée dans laquelle était impliqué Sir Henry Hoghton le 6ème, neveu du mien. A cette époque la famille Hoghton avait délaissé la demeure ancestrale de Hoghton Tower, dont je reparlerai plus loin, pour s'installer dans une autre propriété de moindre envergure nommée Walton Hall, en banlieue de Preston. Donc à la date de sa mort, Sir Henry le 5ème se trouvait bien là où eurent lieu des émeutes.
Je n'ai rien trouvé concernant l'accident de chasse et la cécité en fin de vie. Mais c'est un peu normal, toutes les sources sur Sir Hoghton parlent de ses fonctions au Parlement et très peu de sa vie privée. D'ailleurs cette vie politique me parle un peu aujourd'hui. Je m'intéresse beaucoup à la vie politique de mon pays, aux actualités, et j'ai toujours voté. Je me suis régulièrement impliqué dans la vie publique, que ce soit par l'action syndicale ou associative. On peut dire qu'il y a du Sir Hoghton en moi, non ?

Par ailleurs, depuis mon adolescence j'ai un problème aux yeux, une conjonctivite allergique qui me pourrit la vie de manière plus ou moins saisonnière. Ca se manifeste par des yeux irrités, rougis, des larmes, parfois des maux de tête, bref c'est vraiment handicapant. On a vu que des éléments psychologiques, comme des passions inexpliquées peuvent avoir leur origine dans des vies antérieures. Il en est de même pour des manifestations physiques. Et là, le fait que Sir Hoghton ait terminé sa vie aveugle est d'après moi un véritable signe. D'ailleurs, faisons la relation avec le fait que le druide dont j'ai parlé dans le précédent article a terminé sa vie borgne, lui. On dirait que ce problème d'yeux remonte très loin dans le temps, et à la lumière de la loi du karma il doit y avoir une cause initiale à ça. Mais je ne l'ai pas encore trouvée.

Je peux encore ajouter quelques détails sur cette vie de baronnet anglais (je sais maintenant qu'on ne peut pas l'appeler lord). J'ai par exemple retrouvé le blason de la famille Hoghton, blanc avec des bandes horizontales noires. J'ai aussi retrouvé de la documentation sur les demeures familiales, notamment Hoghton Tower, le manoir ancestral des Hoghton, bâtisse fortifiée au sommet d'une butte. Il existe toujours aujourd'hui, et on peut le visiter et même le louer pour des évènements privés. Les photos que j'en ai vu correspondent aux visions de mes régressions. J'aimerais bien pouvoir le visiter un jour. J'ai aussi trouvé sur internet un tableau représentant Hoghton Tower au 18e siècle. Ce tableau a été peint par un tout jeune artiste, Arthur Devis, en 1735, donc pendant la vie de Sir Henry. D'après la biographie de Devis, ce tableau était le tout premier qu'on lui ait commandé. C'était probablement une commande de Sir Hoghton lui-même qui aurait lancé comme ça la carrière du jeune Devis. Souvenez-vous ce que j'ai vu concernant un jeune peintre. Encore une fois c'est étonnant, non ? Plus tard Arthur Devis continua sa carrière à Londres où il rencontra le succès comme portraitiste.
En ce qui concerne les autres personnes rencontrées dans les souvenirs de Sir Hoghton, la plupart ont été revues dans d'autres vies, et bien sûr aujourd'hui aussi : la petite fille blonde qui serait ma mère actuelle, mon ami chasseur qui serait le chercheur d'or vu avec le trappeur (voir l'article 2), et ma vieille mère sévère qui serait aujourd'hui ma grand-mère. J'ai retrouvé la généalogie des Hoghton, et la mère de Sir Henry était irlandaise d'origine, fille aînée du Lord Vicomte Massereene. Je reparlerai avec plus de précisions dans le prochain chapitre de ces êtres qu'on retrouve de vie en vie.

Et bien sûr je dois parler de Mary et de l'émotion que sa disparition a fait remonter jusqu'à aujourd'hui. C'est le thème que je tenais à associer à ce chapitre, même s'il n'y a pas grand chose à dire là-dessus. Ce que je peux dire, c'est que la tristesse et l'angoisse ressentis à la mort de Mary m'ont immergé comme jamais dans la vie de Sir Henry. C'est ce qui m'a définitivement convaincu de la réalité des vies antérieures, plus que tous les noms, les dates et autres indices que j'ai pu trouver par la suite. Même quelques années après cette régression, il m'arrivait encore de verser une larme en repensant à cet épisode. C'est peut-être là qu'il peut y avoir un éventuel danger à explorer ses vies antérieures, quand le passé vient submerger le présent. Il faut alors avoir assez de volonté et de recul pour rester ancré dans sa vie présente. Je déconseille fortement ces expériences à toute personne qui serait déjà fragilisée mentalement. Une seule vie peut être déjà assez difficile à encaisser moralement, pour ne pas s'encombrer en plus des problèmes de nos vies passées. Je pense qu'il faut de la stabilité mentale, et surtout être prêt spirituellement si on veut se lancer à la découverte de ses vies antérieures. Bon, j'avoue que moi-même j'étais très jeune et pas vraiment prêt pour ça quand je l'ai fait. Mais je ne savais pas ce que j'allais trouver. J'ai eu la chance de garder un peu de recul au début, c'était pas facile. Mais surtout, dans les années qui ont suivi, je suis passé par des évènements, bons ou mauvais, et par des épreuves qui m'ont forgé un caractère et m'ont fait grandir en sagesse (enfin je crois). Je suis maintenant complètement apte à digérer mes expériences passées et à continuer mon cheminement. Mais il reste quelque chose qui fait mal encore aujourd'hui: j'ai perdu Mary. Bien sûr il est possible que je la rencontre de nouveau, dans cette vie ou dans une autre. Peut-être même qu'elle est déjà à mes côtés et que je ne m'en suis pas rendu compte. Malheureusement je n'ai pas encore eu cette révélation. Peut-être plus tard ?

Il est justement temps de parler de ces relations qu'on entretient de vie en vie, et du phénomène qu'on nomme réincarnation de groupe. Ce sera dans le prochain article.


4 commentaires:

  1. je suis frappée par le fait que ton focus puisse te faire voir des plusieurs vies et charge a toi de retrouver dans quelle vie doit se ranger ta vision.
    Personnellement, lorsque je me concentre sur une vie, je vois que cette vie ci, et ce tant que je n'ai pas refermé la porte du temps et passé à autre chose.
    Attention, je n'ai pas ton expérience je n'ai pour le moment remonté que 3 vies. Mais heureusement, au fur et à mesure.
    Comme ma fille, qui se concentre sur un objet ou une sensation et qui va voir que la vie à laquelle elle se rapporte.
    Pourquoi cette différence ?
    ca m'interpelle...

    Heureusement, il y a internet pour les recherches. il est vrai que sans cet outil de référencement incroyable ca serait beaucoup plus laborieux.
    intégrer une nouvelle vie passée dans notre vie permet de prendre conscience du chemin parcouru par notre ame et de visualiser notre karma.
    c'est riche en enseignement, encore faut il que nous soyons pret à le "digérer" comme tel.

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    1. Je ne vois généralement qu'une vie à la fois aussi. C'est mon focus, l'élément sur lequel je me concentre, qui va me mener à la vie concernée. Après, effectivement, à moi de faire le tri pour savoir de quelle vie il s'agit, ce qui n'est pas toujours simple.

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  2. l'émotion (bonne ou mauvaise) qui se dégage des régressions, est presque traumatisante.
    Il faut beaucoup de recul pour accepter que c'est le passé, car l'émotion qu'on en rapporte, elle, est présente aujourd'hui.
    Les images que l'on voit, sont les nôtres en d'autres temps. Nos émotions revécues aujourd'hui, mais d'un temps passé...
    Il faut la bonne distance pour gérer la situation.
    l'amour, la mort, la souffrance, la peur etc.
    Aucune interaction a avoir, car ça c'est déjà passé. On ne vit pas un rêve lucide sur lequel on peut agir, mais on vit une vie passée qui est figée. On a juste la chance de pouvoir y accéder.
    Avec prudence.

    Quant à nos ames soeurs, c'est une chance de pouvoir les croiser et de partager avec eux quelques temps ou une vie.
    J'ai également eu cette chance, c'est indéfinissable.

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    1. Complètement d'accord, la régression est souvent très vivante, on la vit comme si c'était la première fois. Et du coup selon les situations l'émotion peut être très forte. Il faut être capable de prendre du recul a posteriori, faire le point pour ne pas être trop perturbé. Il ne faut pas que le passé parasite le présent.

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